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MAJ 8/10 [French] Hymne à la virilité - Chapitres 1 à 7


AMStudios

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Note to native-English speakers : I wish I coul translate myself this story, but I know I wouldn't do justice to your language. Any automated translator would butcher it. So if any kind soul feels brave and helpful, you are warmly welcome. The title would be

Ode to manliness

Préface :

Bonjour amis francophones. Il s'agit de ma première histoire, et ce sera probablement la seule dans la mesure où j'y décris mon fantasme ultime : un jeune homme maigrichon devenant une montagne de muscle, le summum de la virilité telle que définie par nos critères occidentaux. Je ne m'épanche pas en background ni en fioriture : ce qui me stimule, c'est la description détaillée de chaque phases de transformation aussi bien physique que mentale. Voilà, je vous souhaite bonne lecture, voire plus ! 😉

 

 

Hymne à la virilité

 

     Maxime venait de fêter ses 18 ans il y a semaine. Il était un jeune homme assez frêle d’1m69, châtain foncé, les yeux marron, le corps imberbe, excepté un petit buisson pubien. Il passait totalement inaperçu dans la masse des autres adolescents. Cela, conjugué au fait qu’il était enfant unique couvé par ses parents, alimentait sa grande timidité, laquelle s’avérait être une barrière insurmontable avec les filles. Sa vie sexuelle s’était jusqu’alors résumée à deux branlettes par semaine depuis ses 15 ans. Et pour ne rien arranger, son modeste pénis de 12 cm en érection le complexait. Comment satisfaire une fille avec si peu ? Toutes les vidéos porno vues sur le net mettaient en avant des queues de compétition. Il fallait au moins ça pour faire jouir une fille, il en était persuadé. 

 

     Il venait de s’installer dans une cité HLM en banlieue d’une grande ville pour étudier à l’université. Il tenait à son indépendance, conscient que cela pourrait l’aider à développer sa personnalité. Ce projet fut malheureusement mis à mal par une bande de dealers, à peine plus âgés que lui, squattant régulièrement le hall d’immeuble. Insultes, brimades, et depuis avant-hier, racket. Il était une proie sans défense. Prendre le plus vite possible l’ascenseur était son seul salut.

 

     En cette fraîche soirée de novembre, alors qu’il rentrait de cours, il s’approcha de la porte du hall, le cœur serré. Il priait de toutes ses forces que ces voyous fussent ailleurs. Raté. La bande des quatre délinquants était là. Mais quelque chose clochait. Alors qu’il passait à côté d’eux, la tête baissée, les petites frappes ne lui décrochèrent pas un mot. A peine un regard désintéressé, comme s’ils étaient fortement préoccupés. Tant mieux, la soirée n’aura pas été gâchée. Il tourna à l’angle du couloir quand il entendit la porte de l’ascenseur se refermer.

 

     Il se préparait déjà psychologiquement à se taper les dix étages par escalier plutôt que d’attendre le retour de l’ascenseur, de peur que les racailles ne se souviennent de lui et lui fasse sa fête. C’est alors qu’une énorme main surgit de l’intérieur de la cabine, entre les portes, pour empêcher la fermeture. L’ascenseur s’ouvrit de nouveau et l’adolescent peina à contenir son effarement. Un homme au gabarit immense se tenait là, le regard avenant. Il devait faire au bas mot 2m10 et on devinait, malgré son pull et pantalon larges, une musculature à faire rougir un taureau. Son physique était tellement impressionnant que Maxime, intimidé, hésita même à monter dans l’ascenseur. Malgré une barbe noire de deux semaines et une mâchoire carrée, il ne lut dans ses yeux aucune agressivité ni malveillance. Cela le convainquit et après une profonde inspiration, il entra dans la cabine, le regard baissé. Il s’apprêtait à appuyer sur le bouton du dixième étage quand il s’aperçut qu’il était déjà activé. Il s’agissait donc d’un de ses voisins de palier. Il ne l’avait encore jamais croisé, depuis son emménagement, il y a deux mois. Personne ne parla durant toute la durée de la montée.

 

     A l’ouverture de la porte, le jeune étudiant resta immobile, laissant la priorité au colosse. Ce dernier fit un geste de la main pour lui signifier qu’il lui laissait la priorité. Maxime ne se fit pas prier et se hâta à ouvrir sa porte. Du coin de l’œil, il vit que le géant était son voisin immédiat, à droite de son appartement. Il ne se doutait pas que c’était habité. Curieux qu’une telle masse passe aussi inaperçue au quotidien.

 

     Cette expérience remua son esprit jusqu’au coucher. Comment était-il possible d’avoir une si grande stature ? Pour sûr, si il avait le même gabarit, personne n’oserait le défier, et surtout pas les voyous de l’entrée. D’ailleurs, c’était sûrement au passage de ce monstre qu’ils avaient dû faire dans leur froc, au point de ne pas chercher d’embrouille à un maigre ado. Et tandis que Morphée lui rendit visite, Maxime se fantasmait en colosse vengeur à l’encontre de tous ceux qui lui avaient causé du tort.

Rasséréné par cette mémorable rencontre, il aborda la journée suivante du bon pied. Le sourire aux lèvres, le moral revenu, et même le soleil était de la partie. Il rentra chez lui en chassant les idées pessimistes mais au moment de franchir la porte d’entrée du hall, les quatre jeunes délinquants se tournèrent comme un seul homme vers lui.

 

- Hé, t’as l’heure ?

     Il les ignora.

 

-Hé, fils de pute, j’tai parlé. Regarde-moi quand j’te parle.

     Le meneur s’interposa entre l’étudiant et l’ascenseur.

 

- File-moi ton portable, j’ai besoin de voir l’heure.

     Face au mutisme de sa victime, le meneur lui asséna une petite claque.

 

- Allez, donne ton portable avant que je m’énerve.

     Maxime tenta encore une fois de se faufiler vers la cage d’escalier. La petite frappe l’attrapa par le col et le ramena violemment à lui. Il approcha son visage à quelque centimètre du sien et lui ordonna d’une voix basse et impatiente :

 

- File-moi ton portable ou je t’éclate la gueule.

     L’étudiant craqua. Il céda son portable et se hâta vers la cage d’escalier, tandis que le voleur se tourna vers ses potes en brandissant le téléphone comme un trophée.

 

     Maxime ne pensa à rien pendant son ascension vers l’ultime étage. Il se concentrait sur l’effort à fournir pour gravir toutes ces marches. Passé le neuvième étage, il éclata en sanglot. Il n’arrivait plus à contenir sa détresse et son moral plongea littéralement dans les abysses du mal-être. C’est avec les yeux embués qu’il aperçut un colis au pied de sa porte. Sa curiosité lui offrit un instant de répit dans ce moment douloureux. Il s’agissait d’un carton sans aucune étiquette. Impatient de rentrer chez lui, il prit le carton qu’il analyserait plus tard. Il s’écroula dans son lit et se remit à pleurer. Il se sentait si faible, si seul. Et violé. Ses camarades paraissaient si épanouis. Il était certain d’être le seul puceau de sa classe. Le ciel s’obscurcissait. Rien ne semblait pouvoir le tirer de là. De sombres, très sombres idées traversèrent son esprit.

 

     Puis il se souvint de la mystérieuse boîte. Il alla chercher une paire de ciseaux pour l’ouvrir. A l’intérieur, une notice et petit flacon en plastique blanc sur lequel était apposé le symbole de Mars (). La notice, en plusieurs langues, était plus explicite. Il sagissait dun lot de 20 comprimés censés booster la virilité du mâle lambda, sans autre précision. Maxime se demanda comment ce truc avait atterri sur son palier. Intrigué, il poursuivit la lecture. La posologie était d’un comprimé par jour pour un traitement de 20 jours. Ne pas dépasser 2 comprimés par jour sous peine de développer des effets secondaires incontrôlables et irréversibles. Le garçon, vulnérable et psychologiquement instabilisé par sa toute récente mésaventure, vit ce flacon comme un signe, un miracle. Il ignora royalement la mise en garde en se disant que son cas était désespéré et nécessitait une action radicale. Il broya patiemment les 20 comprimés dans un bol, versa la poudre dans un grand verre d’eau et but cul sec. Quelques minutes plus, il fut pris d’une puissante somnolence. Il enfila un caleçon gris, un T-shirt noir et se coucha. Il ne le savait pas encore mais cette nuit serait sa dernière en tant que victime.

 

 

 

Chapitre 2

Maxime : 1m69 – 61 kg

Pénis (longueur/largeur) : 12 cm/3,9 cm

 

Maxime fut tiré de son sommeil, en pleine nuit, par une sensation dérangeante au niveau de son caleçon en coton. Une sensation mouillée. Avait-il uriné au lit comme un bébé ? Il mit plusieurs minutes avant de recouvrer pleinement ses moyens, puis toucha son caleçon. C’était bien humide. Il ne comprenait pas, ça ne lui était pas arrivé depuis la petite enfance. Était-ce la faute des comprimés ? C’est en frôlant sa verge au moment de toucher qu’il s’aperçut qu’elle était bien tendue. Et si… ? Il approcha sa main de son nez : c’était du sperme ! Bon dieu, il venait d’avoir sa première pollution nocturne. Il en avait déjà entendu parler, sans jamais l’avoir vécu. Il ne sut quoi en penser. Il releva le drap, alluma sa lampe de chevet et constata les dégâts. Il y avait une tâche foncée d’environ 5 cm de diamètre en plein milieu de son caleçon gris. Cela le répugna, sur l’instant. Il s’apprêtait à se lever pour en changer quand il sentit un vague frisson dans le bas-ventre. Son pénis maintenait toujours une solide érection. La plus forte qu’il ait jamais eue, à vrai dire. Il sentit qu’il risquait peut-être d’éjaculer à nouveau, plus tard dans la nuit, et que ça ne valait pas la peine de souiller un autre caleçon. Il décida de rester sur le dos, la couverture repliée sur ses jambes pour qu’elle reste propre.

 

Il fixa à nouveau son caleçon, comme pour être sûr de ne pas avoir rêvé. Son pénis, qui pointait vers la cuisse gauche, était vraiment en très grande forme. Il lui semblait même de le voir palpiter sous le tissu, en rythme avec ses pulsations cardiaques. Amusé, il plaqua le tissu sur son membre pour le mouler. Cela provoqua une montée de plaisir inattendue. Agréablement surpris, il le serra encore plus, accentuant le désir. Traversé par une pulsion, il décida de se masturber de façon classique. Il passa sa main droite sous son caleçon et commença des mouvements de poignet. L’orgasme ne tarda pas, et il fut l’un des plus intenses qu’il avait connu. Il laissa même échapper un râle, ce qui n’était pas à son habitude. Quatre jets opaques s’écrasèrent sur la tâche initiale, ce qui la fit doubler en taille.

 

 Il retira sa main de son paquet tout en essayant de se remémorer le bien-être fugace ressenti il y a quelque secondes. Il se rendit compte qu’il venait à son échelle de réaliser une prouesse, à savoir éjaculer autant en si peu de temps après une première fois. C’était inhabituel, et probablement imputable aux comprimés. Si leur effet se limitait à pouvoir se branler deux fois par jour, cela ne l’aiderait guère contre les voyous. Il remarqua alors qu’il n’avait pas débandé ; son pénis, qui finissait de baver une goutte de sperme, était toujours tendu à son maximum. Et une sensation de chaleur traversa son bas-ventre. Il sentit soudainement plus de sang affluer dans son phallus. La pression finit par être assez douloureuse, comme si son pénis allait éclater comme un ballon trop gonflé. Toujours sur le dos, il agrippa le matelas de chaque côté, bascula sa tête en arrière, crispa sa mâchoire, et attendit que ce moment passe. Il lui sembla sentir son pénis se frotter contre son caleçon, ou plus exactement, avancer le long du tissu. Quand la douleur fut dissipée, il jeta un œil plein d’appréhension sur ce qu’il venait de se passer. Il resta coi plusieurs secondes, à la vue d’un phallus plus long que d’habitude. Peut-être était-ce une illusion d’optique ? Il voulut en avoir le cœur net. Il se leva, saisit un triple-décimètre et mesura son membre qui n’avait jamais dépassé les 12 cm. Il crut halluciner. Il s’y reprit plusieurs fois, manipula sa bite et sa règle dans tous les sens et le verdict était sans appel : 16 cm. La largeur demeurait la même : 3,9 cm.

 

 Il s’assit dans son lit et contempla son nouvel engin. Il le saisit d’une main, à la base. Auparavant, le gland dépassait à peine de son poing. Maintenant il en était éloigné d’environ 2 cm. Cette vision de cette queue de taille inespérée dans sa main le poussa machinalement à se masturber. A nouveau. Son membre était toujours au garde à vous et ne manifestait aucun signe de fatigue. Toujours assis dans son lit, il ferma les yeux et s’imagina pénétrer une de ces blondasses typiques des films pornos amateurs sur le web. Il tambourinait frénétiquement son pubis contre sa chatte, la faisant gémir de plaisir. Puis il la retourna et la sodomisa. Il serra son poing plus fort pour simuler l’étroitesse d’un cul. Cela ne tarda à faire monter la sauce. Il s’allongea sur le dos et donna des coups de rein dans le vide. Un puissant orgasme lui arracha un gémissement de plaisir, tandis qu’il éjacula cinq jets qui s’étalèrent sur son T-shirt noir, au niveau de l’abdomen. Il resta ainsi pendant de longues minutes pour se remettre de cette incroyable jouissance, tout en continuant de caresser sa queue dégoulinante.

 

Jouir trois fois de suite, avec une quantité croissante de foutre, c’était surréel. Ces cachets étaient miraculeux, mais encore une fois, à part dégouter les petites frappes qui le traumatisaient en leur éjaculant dessus, ce ne serait pas d’une grande aide. Qu’importe, il se sentait désormais un peu plus dans la norme et à la hauteur de ce qu’une fille pouvait attendre de lui. C’est alors que la sensation de chaleur qui avait précédé sa poussée de croissance pénienne refit surface. Le pubis, le pénis et les testicules étaient en feu. La pression sanguine était à son comble dans le membre turgescent, et pourtant elle augmenta encore. Maxime crut que la peau allait se déchirer, mais il ne détourna pas le regard. Il voulait voir si son pénis allait encore grandir. Et c’est ce qui se passa. La peau s’étira comme un élastique et son phallus gonflé à bloc s’allongea de plusieurs centimètres supplémentaires en quelques secondes. La douleur avait été moins importante qu’auparavant, c’était déjà ça. Il fixa son membre comme s’il venait de voir la Vierge. Il paraissait si long, comme dans les films. Il le saisit d’une main, à la base, puis de son autre main, sur la partie restante. Hé bien son gland dépassait ! Il pouvait tenir sa bite à deux mains. C’était plus qu’inespéré, plus qu’un miracle. C’était un don divin. Il attrapa sa règle et mesura un magnifique 20 cm. L’épaisseur avait un peu évolué, à 4,2 cm. Le rendu était quand même assez fin, mais peu importe, il pouvait dérouler un préservatif standard en entier, maintenant, vu qu’ils culminent à 18,5 cm. Maxime avait appris les dimensions par cœur à l’époque de sa puberté, dans l’espoir d’être assez gros pour pouvoir les enfiler correctement. Il avait pris l’habitude de mesurer son pénis en érection toutes les semaines, scrutant chaque millimètre de croissance. Mais il était toujours bloqué à 12,1 cm et avait perdu espoir pour plus à l’aube de ses 17 ans. Cette nuit sonnait comme une revanche sur la vie, et être supérieur à la norme lui conféra un énorme regain d’estime de soi.

 

 C’est avec un sourire satisfait qu’il rangea la bête, toujours bandée, dans son caleçon tâché, mais il nota une gêne au niveau de l’entrejambe, comme si le sous-vêtement avait rétréci d’une taille ou deux. C’était peut-être dû à sa bite qui soulevait le tissu vers le haut. Dans le doute, il la sortit, mais le caleçon paraissait toujours inconfortable au niveau des testicules. Il prit ces derniers dans sa main leur trouver une position adéquate, mais rien à faire. Et si… ? Pour en être sûr, il ôta son caleçon et alla inspecter son service trois pièces dans le miroir de la salle de bain. Pas de doute, ses testicules avaient sensiblement augmenté de volume. A vrai dire, son attention avait toujours été jusqu’à présent rivée sur son pénis, ne voyant pas l’intérêt à porter sur ses couilles. De mémoire, il lui semblait qu’elles faisaient à peine la taille de deux balles de ping-pong. Maintenant elles étaient un peu plus volumineuses que ça. Pas étonnant qu’il puisse éjaculer autant. Puis il réfléchit. Ses poussées de croissance semblaient intervenir après chaque éjaculation. Il regarda sa queue bien tendue, palpitante, et se dit que cette taille était bien suffisante pour l’instant. S’il éjaculait de nouveau, il était probable qu’il grimperait à au moins 24 cm, et ne se sentait pas prêt à atteindre ce cap. Tout ce qui venait de se passer était déjà tellement fantastique et improbable. Il ne fallait pas que cela lui monte à la tête.

 

 Il remit à nouveau son caleçon tâché et y rangea prudemment sa bite en feu, car de toute façon aucun de ses autres sous-vêtements ne seraient à la bonne taille. Le bref instant où il frôla son membre fit monter en lui une brève bouffée de chaleur accompagnée d’un désir sexuel enflammé. Son gland émit un mince filet de liquide préséminal. C’est la première fois qu’il en émit autant, là où ça se limitait à une goutte juste avant l’orgasme. De toute façon, il savait que cette nuit inaugurerait beaucoup de « premières fois ». Il décida de garder son t-shirt zébré de cinq jets blanchâtres pour se dégouter d’éjaculer davantage.

 

Il s’allongea dans son lit sur le dos, les bras le long du corps, en tenta de retrouver le sommeil. C’était sans compter l’animal excité qui transformait son caleçon en chapiteau. L’élastique était soulevé sur plusieurs centimètres le long de son pubis poilu. Encore une première fois. Il n’était pas habituer à pouvoir voir la base de son sexe pendant une érection dans un sous-vêtement. Cela attirait sa main vers cet endroit. Il voulait agripper fermement son membre et le secouer le plus énergiquement du monde. Non, il ne fallait pas empirer les choses.

 

Il fixa le plafond, mais cette vue uniforme, ennuyeuse, favorisait le vagabondage de son esprit dans les méandres de la luxure. L’image de son caleçon fortement distendu l’excitait au plus haut point. Il sentit un peu de liquide lubrifiant suinter de son gland. Non, il fallait résister à l’appel. Il ferma les yeux et commença à compter les moutons sautant au-dessus d’une barrière. Un, deux, trois, quatre… mais le trentième mouton trébucha car son pénis en érection avait heurté la barrière. L’excitation du jeune homme avait fini par corrompre toutes ses pensées, quelles qu’elles soient. Non, non, il fallait résister. Son pénis continuait de battre la chamade tout en suintant un nouveau filet de lubrifiant. Une belle tâche se forma sur le caleçon, plus haut que la tâche originelle. Une partie du liquide dégoulinait le long du membre turgescent, l’autre gouttait sur ses poils pubiens. Il avait connu des éjaculations moins copieuses que ça.

 

Plus d’une fois, il résista à l’envie de porter sa main sur sa queue, mais rien ne semblait pouvoir le sortir de cette situation. Ses hormones bouillaient, sa bite trépignait d’impatience et sa soif de sexe devenait de plus en plus pressante. Il se laissa à faire quelques lents mouvements du bassin pour soulager un minimum la pression, mais le frottement du caleçon sur le gland ne fit qu’aggraver les choses. Il se résolut à arrêter quand sa bite éjecta un nouveau filet de lubrifiant, le plus gros jusqu’à présent. La tâche foncée était en passe de devenir aussi grosse que la première. Ses poils pubiens évoquaient maintenant une forêt inondée. Le jeune homme en rut devenait incapable de penser à autre chose qu’à des chattes bien remplies. Toutes ces chattes qu’il avait vu défiler sur son écran étaient à sa portée maintenant. Elles lui appartenaient. Il lui sembla pouvoir toutes les baiser en même temps. Son appétit sexuel était à son paroxysme. Il se remit à donner des coups de rein instinctifs et de plus en plus rapide dans le vide. Il s’imagina enfoncer ses 20 cm dans tous les vagins à sa portée et les labourer comme un fou. Encore. Encore ! ET ENCORE !

 

Sa respiration se saccada, sou pouls augmenta, ses mains se crispèrent sur le matelas et il laissa échapper un râle de plaisir, la tête en arrière, quand il éjacula dans son caleçon. Il avait réussi à jouir sans se toucher, une première (encore une) ! Son gland, plaqué contre le caleçon, expulsa sept jets, plus volumineux et épais que les précédents. Le tissu agit comme un tamis et l’éjaculat d’un blanc éclatant en sortit compact et gluant. Une première boule se décrocha tandis qu’une autre se formait. La partie la plus liquide dégoulina sur son pubis et ses testicules.

 

Tremblant, haletant, gémissant, Maxime mit du temps à s’en remettre. Il n’avait rien pu éviter. Il releva la tête pour constater l’ampleur du désastre. Une grosse boule gluante était tombée sur son abdomen, tandis qu’une autre restait collée au caleçon. Les deux tâches s’étaient rejointes et il y avait désormais plus de gris foncé que de gris clair sur la face avant. Il sentait également du sperme couler sous ses couilles et ses fesses. Ce spectacle d’un vêtement souillé à ce point par son jus l’effraya tout autant qu’il excita. Sa verge, elle, ne débandait pas, et déjà la sensation annonciatrice d’une poussée de croissance se propagea dans son bas-ventre.

 

 

 

 

 

Chapitre 3

Maxime : 1m69 – 62 kg

Pénis (longueur/largeur) : 20 cm/4,2 cm

 

Maxime mémorisa cet instant comme étant les dernières secondes où son sexe aurait encore une taille raisonnable. La sensation de chaleur s’intensifia. Il ne lutta pas. Le sang afflua en grande quantité dans sa verge déjà au maximum. Cela fut étrangement moins douloureux que les autres fois. S’accoutumait-il ? Toujours cette sensation de peau tendue à l’extrême et de bite pelée comme une orange. Le gland continua sa lente ascension vers le bord de caleçon, et s’arrêta in extremis au niveau de l’élastique. Les testicules gagnèrent en volume et s’approchèrent de la taille de deux œufs de poule. Ils pendirent également un peu plus bas, accentuant la sensation d’inconfort à l’entrejambe. Le caleçon était vraiment malmené, avec la moitié de sa surface maculée de sperme et l’élastique soulevé de part et d’autre du bassin. Le très long poteau de ce chapiteau était maintenant presque entièrement visible ; seul le gland se cachait derrière l’élastique.

 

Le jeune homme, qui n’avait pas encore totalement assimilé psychologiquement ses anciens 20 cm, devait maintenant faire face à bien plus long. Il contempla son bambou pendant plusieurs minutes, très impressionné. Il joua même avec, testant sa rigidité, le plaqua contre son abdomen (il dépassait son nombril), le prit à deux mains et constata qu’il y avait presque assez de place pour une troisième main. Il était temps de mesurer. Il saisit son triple-décimètre, en se disant au passage qu’à ce rythme, ce ne serait bientôt plus suffisant, et mesura un solide 25 cm. Mon Dieu ! C’était trop. Il n’en demandait pas tant. L’épaisseur stagnait à 4,2 cm, ce qui fit paraître son membre comme assez maigre. Etrange que la circonférence n’augmente pas de concert avec la longueur.

 

Il pria pour que les éjaculations cessent, et a fortiori la croissance folle de son pénis. Il se recoucha avec le maigre d’espoir de s’endormir, mais il ne débandait pas et sa bite palpitait en rythme avec son pouls. Mauvais signes. La pression du tissu sur le gland le stimulait même. Il décida de sortir le monstre au grand air pour calmer le jeu, mais une sensation, comme un fourmillement, titillait son bas-ventre, comme pour lui signaler que l’usine à sperme tournait à plein régime. Il tenta de chasser cette idée de son esprit. Une partie de lui regrettait même avoir consommé ces cachets. L’autre partie,  au contraire, l’incitait à se laisser aller et à libérer ses pulsions. Non ! Si ça grossissait encore, il ne pourrait plus le cacher à son entourage. Que penseraient-ils ?

 

Mais voilà déjà qu’une pulsion sexuelle la poussa à initier des mouvements du bassin dans le vide. La bête, pointant vers le plafond mais légèrement incliné vers le torse, expédia une petite giclée de lubrifiant sur le haut de son T-shirt noir. NON ! PAS ENCORE ! Mais quand cela s’arrêterait-il ? Maxime sut qu’il devait à nouveau se préparer pour encore plus gros. NON ! Il fallait lutter. Ne pas devenir un monstre. Mais comment ? Le jus sortirait, avec ou sans l’aide de ses mains. Ralentir le processus. Oui. Une douche froide était la seule solution qui lui vint à l’esprit.

 

Il se leva en quatrième vitesse en se débarrassant de ses habits, se précipita dans sa douche et fit couler de l’eau. Chaude d’abord. Puis il diminua progressivement la température, au fur et à mesure que la peau s’habituait. Il dirigea le flot sur ses parties. Mauvaise idée. Le jet massait, stimulait le pénis. Et déplaça le pommeau plus haut, sur son abdomen. Le service trois pièces se retrouva sous une cascade d’eau fraîche, et au bout de quelque secondes, Maxime sentit la différence. Son pénis restait bandé, mais l’excitation était passée. Il coupa l’eau et sortit de la douche. La chaleur du bas-ventre et la soif de sexe ressurgirent presque aussitôt. Il fit un pas en arrière et refit couler l’eau. Il ne pouvait pas rester là-dedans toute la vie. Comment faire ? Il pensa à des glaçons, mais il n’en avait pas dans son congélateur. Le temps d’en créer, il serait largement trop tard. Au moins, ce répit sous la douche lui laissait le temps de se préparer psychologiquement à la suite des événements. En sortant pour de bon de la douche, il fit face à son miroir et se rendit compte avec du recul de la taille impressionnante de son chibre. 25 cm pour 1m69 tout maigre, ça envoyait du lourd, visuellement.

 

S’il avait pris tout le contenu du flacon en une fois, ce n’était pas pour démultiplier les effets d’un produit a priori fantaisiste dont il ne connaissait rien. Non, c’était pour un funeste dessein. Un moment de grande détresse qui l’avait poussé à commettre l’irréparable. L’effet était irréparable, certainement, mais pas celui attendu. Il accepta donc le destin qu’il avait choisi malgré lui, avec la réapparition de cette culpabilité de ne pas être à la hauteur en toute circonstance.

 

Une violente pulsion surgit et balaya instantanément toutes ces considérations. Le gland lâcha un énorme jet translucide sur la glace. Le jeune homme n’en revint pas. Aucune de ses éjaculations d’avant sa transformation n’était sortie aussi violemment. Et là il ne s’agissait que de liquide préséminal. La bête qui avait été engourdie semblait vouloir rattraper le temps perdu. L’étudiant ne traina pas.

 

Il réenfila juste son caleçon mouillé pour ne pas éclabousser partout et s’allongea dans son lit sur le dos. Manipuler sa bite pour la ranger dans le caleçon provoqua une grandiose bouffée d’excitation, ce qui fit gémir de plaisir le jeune homme. Du liquide lubrifiant s’échappait du gland par giclée toutes les vingt secondes environ. Des filets translucides et sirupeux dégoulinaient le long du manche turgescent, ainsi que du sommet du chapiteau, directement sur le pubis. Puis le flot s’écoulait soit par les hanches, soit le long des testicules. De gris clair, le caleçon était passé à gris foncé. Sa bite était devenue un arroseur automatique. Pour gazon frisé, bien sûr.

 

Dans une ultime tentative désespérée pour retenir l’éruption, l’étalon agrippa son membre de ses deux mains et serra de toutes ses forces. Ce n’était pas douloureux. C’était même assez stimulant. Il serra sa bite comme pour l’étouffer, la tuer dans son évolution. La réaction ne se fit pas attendre. Le chibre se gorgea davantage de sang, jusqu’à gonfler en circonférence. Plus il serrait pour limiter cette inflation, plus la réaction s’emballait. Son index, qui encerclait la bête, ne put plus toucher le pouce, de l’autre côté. Et ce fut le tour de son majeur d’être séparé du pouce. Le jeune homme en rut ne pouvait plus refermer ses poings sur sa bite, devenue bien plus épaisse. Et le gland avait doublé de taille. OH NON ! Il voulait faire taire ce monstre, le voilà encore plus fort et déchainé. La longueur, elle, n’avait pas changé. Il comprit maintenant ce qu’il fallait faire pour augmenter le volume, mais ce n’était pas du tout le but.

 

Maxime resta sans voix à la vue de cette énorme pièce de viande qui lui servait de bite. Il en avait rarement vu d’aussi énorme sur le net. Et voilà qu’elle se remit à émettre du lubrifiant par giclée entière. Voir cette grosse queue tremper son caleçon avec des sécrétions sexuelles provoqua un déclic dans son esprit. Pas de retour en arrière possible. Embrasser son destin. Ouvrir les vannes. Fatigué de ce combat perdu d’avance, Maxime mis sa culpabilité au placard, photographia son pénis dans son esprit, ferma les yeux et s’imagina l’utiliser avec toutes les femmes de ses pensées. Il visualisa une de ces vidéos au titre racoleur, du style « petite brunette se fait défoncer par une grosse queue ». Sauf que cette fois, c’était lui le protagoniste. L’étalon chevauchant toutes les femelles à sa portée. Il saisit à deux mains son chibre et commença à se masturber, de plus en plus énergiquement. Il le gardait toujours sous le caleçon pour ne pas être éclaboussé.

 

 Le plaisir était intense, bien plus intense que la majorité des orgasmes qu’il avait eu auparavant. Et là il ne s’agissait que du plaisir ressenti lors de la masturbation. Qu’est-ce que ça serait avec l’orgasme !? Il accompagna sa branlette de mouvements de rein. Quitte à être foutu, autant y aller à fond. La sensation du gland frottant conte le caleçon humide était extraordinaire, tandis que ses deux mains avaient fort à faire avec le long poteau suintant. Maxime bascula la tête en arrière et se mit à gémir d’excitation, de plus en plus fort. Tant pis pour les voisins ; il en était arrivé à un stade où il n’en avait plus rien à foutre. Seul comptait l’orgasme fameux qui allait se produire. Il se concentra sur ses pensées pornographiques. Sur ces tonnes de chattes qu’il labourait violemment et remplissaient de son jus. Une putain de grosse bite de mâle dominant. Il se surprit à être agressif, à insulter ses partenaires dans ses pensées, du genre « Tu la veux ma grosse bite, salope. Bouffe-la. » Sans doute la surdose de testostérone.

 

Il sentait ses mains se couvrir de lubrifiant, ce qui facilita le coulissage le long de sa queue et améliora la sensation. Tout son corps était en ébullition. Ses coups de reins devinrent frénétiques. Ses râles plus bruyants. Ses mains plus rapides. Son matelas encore plus trempé. Le jus commença à monter. L’extase, déjà haute, atteignit des sommets difficilement imaginables. Ses muscles se crispèrent. Et le sperme jaillit en puissants jets ; onze au total, dont huit très consistants. Le caleçon filtra comme précédemment l’éjaculat, dont la partie la plus crémeuse s’amoncela en paquet compact sur la surface externe du tissu. La partie liquide éclaboussa le pubis et l’abdomen, puis coula le long du bassin et des couilles pour former une flaque sous ses fesses.

 

La dopamine noyait son cerveau et il resta en état de béatitude plusieurs minutes durant. Plus rien ne pouvait l’atteindre. Il fut finalement tiré de sa torpeur par cette sensation qui annonçait une croissance pénienne. Il jeta un dernier coup d’œil à sa queue de compétition et se dit, sourire en coin :

« Je vais être un monstre. Je vais être UN PUTAIN DE MONSTRE ».    

 

 

 

 

Chapitre 4

Maxime : 1m69 – 62 kg

Pénis (longueur/largeur) : 25 cm/6,5 cm

 

Le jeune homme, yeux fermés et tête en arrière, sentit sa longue verge grandir à nouveau. Le gland, toujours bloqué par l’élastique de son caleçon, appuyait de plus en plus fortement. Le sang affluait toujours plus et comme les fois précédentes, Maxime crut sentir son membre sur le point d’exploser. La pression eût finalement raison de l’élastique et sa bite se libéra de l’emprise du caleçon pour se dresser fièrement au-dessus de son bas-ventre, inclinée à 60°. Elle continua encore de s’allonger, surplombant le nombril, les abdominaux, pour finalement s’immobiliser au niveau du sternum. Les testicules se mirent à chatouiller leur propriétaire puis enflèrent un peu plus encore pour atteindre la taille de deux clémentines, très à l’étroit dans ce caleçon devenu bien trop court. Le jeune homme maintenait ses yeux fermés pour mieux ressentir les sensations, mais se rendait bien compte que ce bazar à son entre-jambe prenait des proportions épiques.

 

Lui qui il y a à peine une heure avait encore un pénis de 12 cm, se retrouvait avec un anaconda de 33 cm. Une part d’innocence dans son for intérieur rejetait ce monstrueux phallus, voulait redevenir comme avant. Mais elle fut rapidement noyée par les torrents de testostérone qui coulaient dans ses veines. Ces dernières, d’ailleurs, commençaient à imprimer un relief sur tout le corps, serpentant le long des bras, du torse et des jambes. Sans oublier la bête qui se para d’une énorme veine zigzagant tout le long et qui rajoutait quelques millimètres à la circonférence.

 

Toujours les yeux fermés, Maxime palpa le monstre, les testicules, visualisa l’ensemble puis ouvrit les yeux pour comparer. Il eut presque un mouvement de recul en découvrant son gland si près de son visage. Comme pour le taquiner, le bestiau lui expulsa droit dans les yeux une belle giclette de liquide préséminal. Une partie dévala la joue pour atteindre la commissure des lèvres. Le jeune homme ne put s’empêcher de gouter à ce liquide si familier et pourtant si mystérieux. Il ne trouva pas la saveur fameuse, mais la vue de ce gland, si proche… à portée de bouche… le poussa à essayer de le happer.

 

Sa bite était maintenant suffisamment longue pour pouvoir pratiquer une auto-fellation, au prix d’une petite contorsion. Il écarta les jambes et attrapa ses chevilles pour porter le phallus au niveau de sa bouche. Cette position accentua la gêne créée par l’étroitesse du caleçon qui ne pouvait plus contenir ses énormes couilles. Maxime décida de l’ôter et se retrouva en tenue d’Adam. Il  jeta son caleçon par terre comme la vieille serpillère dégoulinante de sperme qu’il était devenu et put reprendre son yoga onanique.

 

Il allait enfin connaître la sensation de se faire sucer. « On n’est jamais mieux servi que par soi-même », songea-t-il avant de gober maladroitement son énorme gland qui l’obligea à ouvrir bien grand la mâchoire. Difficile de ne pas râper la peau avec les dents. En réaction à la sensation mitigée qui en résultait, il se contenta de donner des coups de langue et des baisers bien placés sur son bout rose, ce qui lui procurait malgré tout un plaisir nouveau bien vif. Son pénis le remercia en expulsant encore plus de lubrifiant, dont il avala une partie. C’était un liquide porteur de vie et non un déchet, comme l’urine. Ça ne pouvait donc pas être mauvais.

 

Après plusieurs minutes et de nombreux jets translucides, il sentit la sève monter. N’y tenant plus, il prit son manche à deux mains et l’agita frénétiquement tout en donnant des coups de langue insistants sur son gland. La veine phallique gonfla à son maximum. Le point de non-retour était atteint. L’orgasme arriva. Juste à temps, il goba entièrement les premiers centimètres de queue et se mit à boire tout ce qu’il en sortit. Le goût n’était pas divin mais son instinct lui dictait de le faire, malgré son envie animale d’hurler d’extase. Au bout d’une vingtaine de secondes, il arrêta de compter les giclées qui continuaient à être expulsées au fond de sa gorge. Peu habitué à l’exercice, il recracha une bonne partie et manqua de s’étrangler à plusieurs reprises. Quand l’éruption fut passée, il garda encore un peu son pénis en bouche en le caressant tendrement, comme pour le remercier. Il finit de nettoyer avec sa langue toute la peau qu’il pouvait mettre en bouche, c’est-à-dire le tiers supérieur, puis sortit son membre de cette cache humide et accueillante.

 

Le jeune homme s’affala dans son lit, sur le dos, le menton gluant, le soldat toujours au garde à vous et l’estomac bien plein.

 

C’est alors qu’une sensation de chaleur se propagea dans tout son corps, pourtant déjà bouillant et en sueur. Ses veines, bien apparentes, s’épaissirent davantage et serpentèrent sur chaque centimètre carré de peau. Son cœur battait à tout rompre. Ne sachant trop ce qui se passait, le jeune homme bascula la tête en arrière, mâchoire crispée, poings serrés sur le matelas, et laissa la transformation s’opérer. Jusqu’à présent, son corps était resté mou et dénué de muscles apparents. Son taux de masse graisseuse se mit alors à fondre comme neige au soleil, sculptant des muscles chétifs mais dessinés. Pour la première fois de sa vie, ses abdominaux apparurent. Le processus continua à tel point que sa peau parut comme très fine et prête à se déchirer. Ses muscles, gorgés de sang et d’hormones, se mirent quant à eux à gonfler.

 

 D’abord les biceps, qui surgirent du plat de son bras pour former une belle bosse toute ronde, comme si une balle de tennis s’était glissée sous la peau. Une veine apparut au sommet et se ramifia. Les biceps se remirent à gonfler, accompagnés cette fois par les triceps et les muscles des avant-bras. Ces derniers prirent la forme d’un fer à cheval, tandis que le couple biceps/triceps grossit pour atteindre un solide 39 cm bien sec. Ses épaules gagnèrent en volume, son cou s’élargit et sa voix baissa d’une octave presque aussitôt, sans qu’il ne s’en rende compte sur l’instant. Ses pectoraux se raffermirent puis gonflèrent lentement comme deux ballons en plastique. Juste après, sa cage thoracique se souleva, accompagné de bruits de craquement d’os, comme s’il n’en finissait plus d’inspirer. C’était le cas ; son torse venait de doubler de volume. Les muscles dorsaux et latéraux ne furent pas en reste et grossirent fortement, dessinant un dos noueux qui continuait à s’élargir. Ses bras furent repoussés sur le côté au fur et à mesure du processus. Ce n’était absolument pas douloureux, plus semblable à un chatouillis.

 

Les abdominaux, déjà visibles, durcirent comme de la pierre et gonflèrent vers le haut, creusant une vallée au milieu de son ventre. La définition même d’une tablette de chocolat. Ses hanches étaient restées fines, ce qui lui conféra une silhouette en V. Les cuisses maigrelettes enflèrent lentement mais sûrement pour rivaliser avec celles de cyclistes du dimanche. Des poils bruns en surgirent, formant une petite toison sur toutes ses jambes. Les mollets enfin, s’accordèrent avec les cuisses et prirent du volume jusqu’à laisser entrevoir un début de forme en diamant. Le pénis, lui, restait bien bandé mais ne grandit pas. La sensation ne s’était pas dissipée pour autant. Quelque chose se préparait.

 

Maxime avait bien senti qu’il avait pris du muscle, mais il resta tête en arrière, comme prêt pour toute éventualité. Et ça arriva. Un craquement sourd et douloureux qui lui arracha un cri. Ses vertèbres étaient en train de s’écarter. Le jeune homme se mit immédiatement sur le ventre, dos vouté, et subit la douleur de sa colonne vertébrale qui s’étirait. Il était en train de grandir ! Sans bouger le moins du monde, il voyait son matelas défiler petit à petit sous ses yeux. Le bas de l’oreiller… Le milieu de l’oreiller… Le haut de l’oreiller… Puis la croissance stoppa. Avant qu’il ne reprenne ses esprits, ses jambes se mirent à leur tour à craquer. Fémurs et  tibias s’unirent pour lui offrir quelque centimètres supplémentaires, et cela en conservant leur volume musculaire initial. Avant qu’il puisse souffler, les bras, à leur tour, s’allongèrent. Il se remit sur le dos et les laissa pendre pendant leur croissance. Ses poings, qu’il gardait fermés, grossirent également pour atteindre la taille d’un pamplemousse. Ses pieds passèrent de pointure 41 à pointure 46. Les rares poils apparents de ses avant-bras devinrent davantage foncés, nombreux et épais. Un léger sillon duveteux se dessina de son pubis jusqu’au nombril, mais ce n’était pas flagrant car les poils étaient englués dans le sperme qui recouvrait son abdomen.

 

Et en dernier (mais pas du moins), sa bite commença également à grossir. Après cette poussée de croissance du corps dans son ensemble, le gland était revenu au niveau des abdominaux supérieurs, toujours à 33 cm. Les énormes veines qui parcouraient l’engin grossirent encore un peu plus, puis il se mit à aller de l’avant. Tout doucement. Il dépassa les abdos, parcourut quelques centimètres vers le plexus puis s’arrêta quand il frôla les pectoraux. Maxime ne mesurera pas, mais il était désormais pourvu d’un gargantuesque 42 cm. Et les couilles de rattraper leur retard en enflant dans des proportions toutes aussi folles. Elles faisaient désormais la taille de deux oranges, gorgées de jus et pendantes. Un filet de lubrifiant s’échappait sans discontinuer du gland, entrecoupé toutes les 15 secondes environ d’un gros jet qui éclaboussait son visage et son oreiller. La prochaine éjaculation serait un véritable torrent déchainé, capable de noyer littéralement n’importe quel outrecuidant.

 

 L’étalon baignait dorénavant dans une sorte d’extase diffuse, un océan de pulsions animales qui assaillaient son cerveau totalement submergé. Une jouissance se faisait ressentir sous forme de  multiples pics chaque minute, dont certains réussissaient à être plus intenses que les plus faibles orgasmes qu’il put avoir avant le début de sa métamorphose. Cet état de quasi-transe sexuelle le poussait à émettre des râles de plaisir non-stop, comme lors d’une masturbation très stimulante. Il ne s’en rendait même plus compte, totalement subjugué par son nouveau corps. Il caressa ses pectoraux, ses biceps ronds et veineux ainsi que ses abdominaux bien creusés qui irriguaient un ruisseau de sperme vers le pubis.

 

 Il ressentit soudain le besoin d’entraîner ses muscles gonflés à bloc par les hormones. Ils débordaient d’énergie et voulaient se dépenser comme des fous. Cloitré dans son studio, sans aucun matériel de sport, il décida de faire des pompes, pour la première fois de sa vie. A peine se mit-il à genoux qu’il fut gêné par son monstrueux chibre dont le gland plaqué au sol l’empêchait de faire le mouvement. Cela le contraria fortement et saisit le premier objet qui lui passait sous la main pour le réduire en pièce. Ce fut son caleçon trempé qui gisait par terre. Il le déchira d’un coup sec, puis encore, puis encore. Il roula les morceaux en boule et les jeta contre le mur. A la vue de ces morceaux de tissus informes, il eut une idée. Rien de telle pour se rendre compte de son évolution que de comparer son gabarit avec ses vêtements.

 

En se levant pour ouvrir le placard, il eut un moment de déséquilibre. Jamais il n’avait vu sa chambre d’aussi haut. Il ne le savait pas mais il culminait à 1m88. Dix-neuf centimètres de gagnés en un éclair ! Quand il se fit à son nouveau centre de gravité, il ouvrit le placard et choisit un vêtement. Il tenta de porter un T-shirt, le plus large qu’il possédait. Il se débattit tant bien que mal pour l’enfiler, craqua quelques coutures au passage et réussit néanmoins à s’en vêtir. Ce qu’il vit lui fit un énorme choc, peut-être plus fort encore que lorsqu’il découvrit sa bite de 33 cm. En dehors de la sensation d’étouffement, l’habit moulait à l’extrême sa toute nouvelle musculature. Les manches, incapables de contenir les bras, étaient retroussées jusqu’aux épaules. Le col était très distendu et laissait apparaître la séparation entre les deux pectoraux. Le bas du T-shirt s’arrêtait juste au-dessus du nombril et découvrait ses abdominaux inférieurs.

 

Cette vision de ce vestige textile à l’agonie sur son nouveau corps provoqua un déclic. Une sorte de transformation mentale, cette fois. Sa confiance en lui venait d’exploser les compteurs. Son appétit sexuel également. Il écarta les bras pour faire une pose classique de bodybuilding consistant à contracter les deux biceps de face. Le T-shirt se déchira dans le dos, puis au moment de contracter, les biceps et muscles des épaules achevèrent les manches. Les yeux grands ouverts pour ne rien rater du spectacle, il gonfla le plus possible sa poitrine et bomba ses pectoraux. Le col se déchira à son tour jusqu’au plexus. Mais impossible de craquer entièrement. Maxime, dont le cerveau était noyé dans la dopamine et la testostérone, y vit un défi. Il réussirait à craquer ce cocon de son ancien corps, à couper définitivement les fils avec son passé encore très récent.

 

Il s’allongea dans son lit en se cognant la tête contre le mur, peu habitué aux nouvelles dimensions de son corps, prit son python à deux mains et constata au passage qu’il pouvait à nouveau fermer les poings autour. Encore un défi. Il comptait se masturber mais prit le temps de serrer de toutes ses forces son baobab pour déclencher une croissance en largeur. Il ne mesura pas sa nouvelle force et même son énorme queue souffrit de sa poigne, qu’il adoucit quelque peu. L’effet escompté se produisit. La bite réagit comme un animal et cage et gonfla en largeur pour se défaire de l’emprise de son maître. Le gland doubla quasiment de volume pour atteindre la taille d’une petit pomme. Comme précédemment, il ne put plus joindre son pouce avec ses autres doigts autour de ce monstre, qui affichait un terrifiant 10 cm de largeur.

 

La vision de cet authentique tronc d’arbre acheva de faire basculer son esprit dans les méandres de la pornographie la plus débridée. En fermant les yeux, il ne voyait plus que des trous. Des chattes à exploser, des culs à déchirer et des mâchoires à déboiter. Il sentit qu’il pourrait baiser la Terre entière. Des filles ou des garçons, il n’en avait plus rien à foutre. Pénétrer, labourer, défoncer, éclater, atomiser… étaient les seuls mots qui l’animaient.

 

Il empoigna le monstre d’une main, qu’il agitait frénétiquement, et caressait ses pecs et abdos huilés de liquide préséminal de l’autre main. Il donna des coups des reins rapides dans les airs mais restait sur faim. Sa bite lui ordonnait de pénétrer un trou. N’importe lequel. Il s’interrompit, mâchoire crispée, la peau rougeoyante et ruisselante de lubrifiant et sueur mêlés. Il réfléchit en bref instant en regardant autour de lui, puis eut une idée. Il prit un couteau de cuisine, transperça son matelas là où devrait se trouver son pénis, puis arracha à la main le rembourrage pour creuser un tunnel. Il transperça l’autre côté du matelas, enleva (ou plutôt cassa) une latte du sommier qui se trouvait au même niveau, puis, tout excité, se mit sur le ventre et fourra son baobab dans ce trou improvisé.

 Le ressenti n’était pas aussi serré qu’une vraie chatte, mais la sensation différait assez d’une classique masturbation pour faire illusion. Il enfila entièrement sa bite qui ressortit de l’autre côté et s’arrêta à deux centimètres du sol. Puis il releva le plus possible ses hanches en sentant son gland être chatouillé par la mousse synthétique du matelas. Cette sensation inédite décupla son appétit sexuel. Il se mit à faire des mouvements de va et vient de plus en plus rapides, toujours en essayant de faire coulisser le plus de longueur de bite possible. Le gland arrosa copieusement de jus l’intérieur du matelas et le sol. L’étalon se mit à agripper le matelas par les deux bords, tambourina de plus en plus en fortement le lit jusqu’à atteindre huit coups de rein à la seconde, le tout en lâchant de bruyants cris de plaisir. Plusieurs lattes craquèrent. Des fissures apparurent au niveau des pattes du lit. Les voisins, s’ils n’avaient pas encore été réveillés, le seraient maintenant, à coup sûr. Mais peu importe pour le jeune homme qui accomplissait quelque chose d’extraordinaire.

 

Il atteignit un nouveau stade d’orgasme. Du genre qui touche au divin. Quelque chose qu’aucun mortel n’avait pu ressentir jusqu’ici, en tout cas sans usage de drogue. Cela dépassait l’entendement. Le temps qu’il comprenne qu’il était en train de jouir, une flaque de sperme épais et blanchâtre était déjà apparue de sous le lit. Et ça continuait. Il retira précipitamment son baobab du trou en éclaboussant tout sur son passage puis goba difficilement son énorme gland en fermant les yeux. Il eut peur de s’y être pris trop tard, mais il put toute de même avaler sept gorgées de semence. Il s’étala de tout son long sur le matelas malmené en haletant, épuisé, dégoulinant de sueur et de sperme, mais heureux comme un pape. Déjà son corps fumant récupérait et préparait la prochaine étape, et Maxime sut qu’il allait devenir un dieu. UN PUTAIN DE DIEU. 

 

 

 

Chapitre 5

Maxime : 1m88 – 92 kg

Pénis (longueur/largeur) : 42 cm/10 cm

 

 

                La sensation de transformation maintenant bien familière apparût d’abord dans son cou. Les muscles de sa gorge se crispèrent à un point où le jeune homme eût du mal à respirer, comme si une corde invisible l’étranglait. Mais cela n’aurait su entraver l’extase diffuse dans lequel il baignait désormais continuellement. Son cou gonfla en quelques secondes, au point de devenir plus large que sa tête, chose remarquable même dans le monde du bodybuilding. Sa voix baissa encore d’une octave, passant de baryton à basse. Puis la sensation de chaleur caractéristique se répandit dans toute sa poitrine, laquelle enfla en volume comme si Maxime inspirait sans discontinuer. Comme auparavant, ce processus provoqua quelques sons organiques, semblables à des os qui craquent. Le T-shirt qui avait jusque-là résister aux assauts musculaires de son propriétaire était en passe de perdre la partie. L’entaille qui s’était arrêtée au sternum reprit le chemin de l’abdomen, accompagnée de ce son caractéristique de tissu déchiré. De façon régulière, sous la pression de ce torse en pleine croissance, la déchirure parcourait chaque centimètre vers l’inéluctable destination, arrosée régulièrement par de généreux jets de liquide préséminal. Oh miracle ! Elle s’arrêta à cinq centimètres du bord. En effet, la poitrine avait cessé d’enfler. Elle était désormais comparable au coffre des plus grands ténors. Les pectoraux, déjà fort proéminents, se mirent à enfler à leur tour. Deux fois plus volumineux qu’avant, au point qu’une main pourrait se retrouver coincée entre les deux pour peu que Maxime les contracte.

               

Les muscles du dos prirent la relève en augmentant à leur tour de volume, sculptant un véritable haut-relief de formes noueuses et symétriques. Les muscles latéraux, qui confèrent une silhouette caractéristique en V, élargirent encore plus le gabarit du jeune homme en rut, au point totalement démentiel que sa silhouette évoquait dorénavant plus un T (autre fait rare en bodybuilding). Dans les ultimes instants d’élargissement du dos, le T-shirt finit par rompre, devenant pour le coup une sorte de chemisette en bien piteux état. Le bas de cette loque était au niveau de la rangée d’abdos centrale, là où dans un passé très récent il atteignait la base du pénis.

 

Les muscles de ses bras, pourtant bien vascularisés, se parèrent d’un grillage d’énormes veines saillantes encore plus nombreuses, qui les engorgea de sang et d’hormones. Le couple biceps et triceps, qui étaient déjà formidables de puissance, augmenta prodigieusement en taille, de quoi faire pâlir bon nombre de bodybuilders stéroïdés avec ses 51 cm de circonférence. Les avant-bras suivirent la cadence, transformant les membres supérieurs en véritables presses hydrauliques. Même les muscles des mains gagnèrent en volume et force. Des poils bien noirs et drus couvrirent les avant-bras et le dessus des mains.

 

Le monstrueux jeune homme ne percevait même pas ces changements, sa conscience étant anesthésiée par ce doux bien-être érotique dans lequel il baignait en toute quiétude. Cependant, des pulsions sexuelles de plus en plus fréquentes et virulentes essayaient de l’en tirer, ce qu’elles réussiraient sans doute bientôt. En attendant, son corps continua sa transformation. Ses abdominaux, déjà au summum de l’esthétique et de la force, prouvèrent qu’ils pouvaient durcir davantage que la pierre, tandis que le sillon central se creusa encore plus, et les muscles pubiens devinrent si secs et sculptés que sa tablette de chocolat était désormais parée de 10 carrés (autre fait rare à ajouter à la liste).

 

La transformation ignora temporairement l’immense organe palpitant pour progresser dans les jambes, sur lesquelles un immense réseau de veines serpenta et se ramifia pour les irriguer en hormones et nutriments. L’effet fût fulgurant. Les cuisses et mollets de cyclistes devinrent de véritables troncs d’arbres, capables de pousser plusieurs centaines de kilos. A l’instar des membres supérieurs, le duvet sur ses jambes devint une fourrure virile.

 

Une pulsion particulière puissante tira Maxime de sa torpeur. Au même moment, un jet de liquide séminal avait atterri dans son œil, comme pour lui signifier qu’il était temps d’astiquer le baobab. Maxime savait qu’il venait de prendre énormément de muscle, mais seule la jouissance sexuelle lui importait sur le moment. Il allait agripper son titanesque phallus quand il ressentit un chatouillis dans ses pieds assez insistant pour le distraire quelques secondes. Ses pieds, qui faisaient du 46 depuis un quart d’heure, commencèrent à grandir à nouveau. L’étalon renonça à la masturbation et tint les bords du lit pour se préparer à cette phase un peu plus délicate. Il entendit les os de ses pieds puis de ses jambes craquer. Un bref coup d’œil curieux lui fit découvrir d’immenses panards que des chaussures de clown taille 52 aurait du mal à contenir. Tibias et fémurs ne furent pas en reste en grandissant de nombreux centimètres. Les muscles ainsi étirés, moins trapus, semblèrent moins volumineux, mais la sensation de chaleur, qui s’était estompé, repris de plus belle en accompagnant la croissance osseuse. Les quadriceps, mollets et autres ischios reprirent leur augmentation en taille, ce qui les transforma en de véritables piliers de cathédrale, quadrillés de veines toutes plus épaisses les unes que les autres.

 

L’étirement du squelette se poursuivit dans la colonne vertébrale, partie ô combien sensible. Maxime se mit instinctivement sur le ventre et courba le dos, tandis qu’il sentait son gland palpiter et arroser ses pectoraux. Il se positionna dans le lit de sorte qu’il ait de la marge entre son front et la tête de lit. Il se rendit compte à quel point il avait grandi quand ses genoux frôlèrent le bas du lit, laissant ses tibias et pieds en suspens au-dessus du sol. Les muscles entre chaque vertèbre grossirent raisonnablement, lui octroyant quelques centimètres, puis se sont les vertèbres elles-mêmes qui s’allongèrent. La sensation fût moyennement agréable mais son cerveau était encore relativement anesthésié par la sérotonine. Comme tout à l’heure, sans qu’il fasse le moindre mouvement, Maxime voyait défiler son oreiller vers le bas à mesure que sa colonne vertébrale s’allongeait. Ses yeux dépassèrent le haut de l’oreiller, puis le bord du matelas puis la tête de lit que sa tête toucha. La croissance n’était malgré tout pas encore achevée. Il ne recula pas et se contenta de plaquer sa tête contre le bord en arrondissant davantage le dos, lequel formait un arc de cercle de plus en plus ample.

 

Les muscles de la poitrine et du dos reprirent leur croissance pour rendre à leur propriétaire sa silhouette en T. Les muscles latéraux repoussèrent les bras loin sur les côtés, à tel point que le monstrueux étudiant était désormais plus large que son lit d’1m40. La cage thoracique devint encore plus volumineuse, les pectoraux encore plus énormes et les abdominaux plus larges et profonds, au point qu’on pourrait y plonger la moitié d’une main. Ces proportions totalement démentes finirent par avoir raison du lit ! Sans prévenir, les pieds avant cassèrent. Ils avaient été fragilisés par les ébats frénétiques de l’étalon quelques minutes auparavant, puis sa prise de muscle exponentielle eût raison d’eux. Ils ployèrent sèchement sous les 160 kg de leur propriétaire. Celui-ci n’y fit guère attention, se concentrant sur le parcours de la douleur. Celle-ci s’atténua dans les tréfonds de la nuque à laquelle s’ajoutèrent quelques centimètres. Les muscles de son cou paraissaient dès lors un peu moins impressionnants car moins larges. La réaction ne se fit pas attendre avec de nouveau un élargissement de ceux-ci, encore plus rapide que le précédent, qui fit lâcher à la montagne de muscle un petit cri de surprise. Il se rendit compte à ce moment à quel point sa voix était devenue grave et caverneuse, mais il n’eût pas envie d’en entendre plus, sa priorité étant sa bite, toujours palpitante du haut de ses 42 cm.

 

Cependant, la croissance du squelette n’était pas encore achevée. Les épaules à leur tour s’élargirent démesurément au point de faire trois fois la largeur de la tête de Maxime. Ce fût l'estocade pour les lambeaux de tissu qui avait résisté jusque là. La loque qui avait auparavant été un T-Shirt finit par céder sous la pression et tomba sur le lit. Puis les bras et avant-bras s’allongèrent jusqu’à ce que les mains, qui arrivaient au niveau des haches, puissent atteindre de nouveau le haut des cuisses. Les mains elles-mêmes produisirent des craquements tandis qu’elles formèrent des poings de plus en plus gros. Maxime le monstrueux était dorénavant pourvu de deux authentiques boulets de canon, solides et redoutables, au bout de chaque avant-bras. La fourrure noire présente sur cette partie s’épaissit encore un peu. Les muscles rattrapèrent maintenant le retard. Le gigantesque biceps sec et veineux avait pris l’allure d’une saucisse en s’allongeant. Les veines grossirent, se ramifièrent et le firent gonfler dans des proportions bibliques, au point que son seul bras aurait pu cacher derrière lui un ballon de football. Si ses membres supérieurs étaient des presses hydrauliques il y a encore quelques secondes, ils sont dorénavant deux bulldozers nucléaires.

 

La partie qu’attendait avec impatience l’inhumain jeune homme arriva : la croissance de son pénis. Ou plus exactement l’anaconda lui servant de pénis. Tandis qu’il sentait la pression dans son cinquième membre augmenter, Maxime se remit sur le dos. Ses genoux dépassaient maintenant le bas du lit et ses pieds touchaient sans problème le sol. Il ne le savait pas encore, mais il faisait désormais un gigantesque 2m23. L’inclinaison du fait des pieds de lit cassés le dérangeait. Il entreprit de donner de grands coups dans le bas du lit pour rompre le reste, ce qui se produisit avec fracas. Il se réinstalla sur le dos, avec malgré tout cet inconfort dû à la toute nouvelle étroitesse du matelas. C’était un détail face aux assauts insistants de ses pulsions sexuelles débridées qui finirent par reprendre totalement le contrôle de son esprit. Ses deux géantes mains agrippèrent puissamment le phallus écarlate et suintant, puis il se mit à serrer de plus en plus. Sa poigne d’une extraordinaire puissance malmena, et même déforma la pauvre bête totalement prise au piège. Cela en devenait même douloureux mais les signaux d’alerte peinaient à se frayer un chemin jusqu’au cerveau saturé d’hormones du bonheur. La réponse à cette attaque ne se fit pas attendre. Le sang afflua en quantité vertigineuse dans l’énorme pénis et c’est le gland, à l’air libre et dégoulinant de liquide séminal, qui démarra les hostilités. De la taille d’une petite pomme, il passa à celle d’une très grosse pomme, soit l’équivalent d’un poing d’un adulte normalement constitué. Puis c’est tout l’immense mât qui essaya de se défaire de cette emprise infernale en gonflant vertigineusement. Les très grands doigts ne purent bientôt plus encercler totalement l’animal en colère. Des veines palpitantes, de la largeur d’un doigt, apparurent tout le long en serpentant. Cette sensation phénoménale provoqua chez le monstrueux étalon un râle très grave. Son phallus avait gagné, une fois du plus, en affichant une inhumaine largeur de 12,5 pour 40 cm de circonférence. Plus aucun orifice humain ne pourrait accueillir une bestiole pareille, laquelle poursuivit sa métamorphose. Toujours aussi dur comme du bois et gluante de liquide séminal qui s’écoulait non-stop, elle se mit à grandir. L’étirement du squelette avait ramené le gland au niveau de la paire d’abdominaux centrale. Celui-ci reprit son périple serein tandis que les veines continuaient d’irriguer toujours plus en sang. La tête de l’animal parcourut la paire supérieure d’abdominaux, puis le sternum et acheva sa course en titillant les pectoraux, non sans avoir laissé son chemin une trainée gluante, comme aurait fait un escargot bien baveux. Elle envoya sur le visage de Maxime un copieux jet de liquide comme pour saluer sa victoire. Ce dernier ne s’en émut pas, toujours plongé dans un bain d’orgasmes diffus. Bons derniers dans le processus de métamorphose, les testicules se mirent à grossir, passant de la taille d’oranges à celles de pamplemousse bien fermes. L’usine à sperme allait faire un malheur. Il était d’ailleurs temps de l’inaugurer par une masturbation mémorable.

 

Il n’y avait plus de mots pour décrire le service trois pièces. Une bite affichant un terrifiant 52 cm, aussi épaisse qu’un avant-bras d’adulte normal, surplombée par un gland aussi gros qu’un fruit rond et soutenue par deux énormes couilles qui marchaient à plein régime. L’étalon contempla un instant cet engin, satisfait et même impatient de s’en servir sur d’autres personnes, mais ses pulsions lui ordonnèrent de branler tout ça de façon violente. S’il éjaculait et buvait une fois encore son propre foutre, il savait qu’il deviendrait non plus un Dieu mais un Titan. UN PUTAIN DE TITAN. Que la fête commence !

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Merde! C’est vraiment trop HOT comme histoire, mec! Je n’ai pas lu une histoire qui décrivait aussi bien et aussi poétiquement la croissance d’un homme en un monstre hypervirile et masculin! T’as pas idée à quel point J’ADORE!!! J’ai bien hâte de voir s’il va encore grandir ou bien ta prochaine histoire!!!

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Chapitre 6

Maxime : 2m23 – 189 kg

Pénis (longueur/largeur) : 52 cm/12,5 cm

 

 

L’étalon branlait frénétiquement de ses mains sa bite éléphantesque bien lubrifiée par des flots incessants de liquide présiminal. Certains s’écoulaient le long du phallus, d’autres étaient projetés à divers endroits de l’abdomen et du torse. Un ruisseau était canalisé dans le canyon central de ses abdominaux avant de s’évacuer par les côtés sur le matelas trempé de sueur et de sperme. Les jets devinrent plus forts et rapprochés. Le rythme cardiaque, déjà bien haut, accélèra plus encore. La respiration devint plus courte et saccadée. Les hormones bouillaient dans tout le corps. Le plaisir diffus se renforça. Maxime ne pensait plus qu’à son immense queue en tant qu’arme de destruction massive. Destruction massive de chattes, de culs et de bouches. Il commença des mouvements de va et vient avec ses hanches, de plus en plus rapidement.

 

C’est alors qu’il eût un déclic. Il se souvint du trou dans le matelas pour simuler une pénétration. Matelas et sommier étaient désormais à terre, ce qui signifie qu’il ne pourrait enfiler que les 15 premiers centimètres de sa poutre. Insuffisant. Il voulait TOUT enfourner. Il se leva, le chibre en feu, pour pénétrer le matelas debout, mais il se cogna contre le plafond qui n’était « qu’à » 2m20. La colère le submergea dans l’instant. Il frappa de son poing droit la zone du plafond coupable de ce crime, ce qui la fissura en faisant résonner un immense choc dans tous les appartements voisins. La colère était toujours là, et ses immenses muscles bourrés d’énergie voulaient se défouler. Il se mit alors à frapper le mur de sa chambre, qu’il perfora au bout du troisième coup. Il avait désormais vue sur la salle de bain. Cette vision de puissance pure décupla son plaisir sexuel.

 

Il se rappela alors pourquoi il s'était levé. Il souleva le matelas comme un fétu de paille, le dressa verticalement et fourra entièrement sa gigantesque bite dans le trou creusé auparavant. Bien sûr, plus de deux tiers de queue ressortaient de l’autre côté, mais le trou était maintenant très étroit pour une si grosse queue, ce qui stimulait le plaisir. S’en suivit la scène improbable d’un géant debout secouant un matelas troué pour se branler avec. Le tissu finit par craquer autour du trou, sous la pression du phallus de mammouth, amoindrissant quelque peu la sensation d’étroitesse si stimulante, mais le bouquet final approchait. Le monstrueux étalon ralentit quelque peu le mouvement, fût pris de spasmes, puis entra dans un tout nouveau monde. Les jets de lubrifiant devinrent blanc et très épais, et vinrent s’écraser sur le mur. Cinq, dix, quinze, vingt… La fontaine à sperme ne s’arrêtait plus. Tout dégoulinait et formait une flaque sur le sol qui alla fusionner avec sa sœur des précédentes éjaculations. Le jeune homme, lui, était dans une extase si absolue qu’il en oubliait de respirer. Qu’importe, ses énormes poumons pouvaient rester en apnée plusieurs minutes. Il ne pensait plus à rien, seule lui parvenait la sensation de jouissance extrême. Comme une douce couverture qui l’envelopperait pour l’éternité. En apesanteur. Rien d’autre ne comptait.

 

 Il ne saurait dire combien de temps il était resté dans cet état de transe. Il émergea doucement à mesure que les hormones se firent moins prégnantes. Il était toujours debout, la queue semi-bandée enfilée dans le matelas et laissant couler de l’autre côté un sirupeux lubrifiant qui alimentait une flaque blanchâtre très étendue que le matelas épongeait en partie. Il avait complètement oublié d’en boire pour poursuivre sa métamorphose. Qu’à cela ne tienne ; il sentait ses couilles marcher à plein régime et pourrait bientôt reproduire un océan de sperme d’ici peu. Il avait d’ailleurs très soif.

 

Il reposa brutalement le matelas pour aller boire dans la cuisine. Il tenta de passer tant bien que mal par la porte de la chambre, bien trop petite. Il dut la traverser en se mettant de profil, ses épaules étant démesurément larges. Devoir marcher la tête inclinée et éviter les luminaires était une expérience totalement nouvelle et désagréable. Mais devenir un dieu valait bien ce petit inconvénient.

 

Il ouvrit son frigo, bu entièrement la bouteille d’eau d’1,5 litre qui s’y trouvait, puis en bu une autre du pack posé dans un coin. Puis une autre encore. Alors qu’il la finissait jusqu’à la dernière goutte, son membre écarlate revint au garde à vous. Chaque éjaculation se payait au prix d’une bite plus grosse encore. Il le savait et s’en foutait maintenant. Rien ne comptait d’autre que la jouissance de l’instant présent. Et le présent, c’était une bite palpitante de 52 cm, aux corps spongieux saturés de sang et qui s’apprêtait à être encore plus monstrueuse.

 

Maxime s’assit dans la kitchenette et laissa sa bite prendre le pouvoir. Les veines qui la serpentaient faisaient maintenant l’épaisseur de deux doigts tandis que d’autres apparaissaient. Cette sensation que sa bite allait exploser sous la pression s’amplifia. Et la transformation commença. Son phallus s’allongea et fit remonter le gland le long des pectoraux, arrosant copieusement au passage tout ce qui se trouvait devant lui, à savoir principalement le visage de son propriétaire. Il acheva sa course en haut des gros oreillers qui  servaient de pectoraux.

 

Maxime inclina la tête au maximum et tira la langue. Il pouvait s’auto-lécher sans contorsion ! Cette sensation encore assez inédite d’une langue sur son gland libéra un tout nouveau flot de pulsion libidineuse. En courbant le dos, il pouvait poser son gland sur son visage. Sa bouche, qui n’avait pas grandi depuis le tout début du « processus » était absolument trop petite pour cet énorme gland. Peu importe. Il colla ses lèvres le plus possible autour de l’engin, comme une ventouse, et fit jouer sa langue comme son instinct lui dictait. D’une main il tenait son chibre, et de l’autre il se massait les couilles, lesquelles n’étaient pas en reste en enflant un peu plus encore, pendantes et à la peau distendue. Elles atteignirent la taille de très gros pamplemousses, voire d’un ballon de handball de petit calibre.

 

Maxime s’en rendit compte en les palpant, ce qui ne fit qu’exacerber son excitation et ses pulsions salaces. Toute cette semence chaude et onctueuse qui ne demandait qu’à être bue… Le liquide séminal ne l’intéressait pas et il en recrachait une bonne partie au fur et à mesure que sa bouche se remplissait, c’est-à dire à peu près toutes les 15 secondes.

 

 Il commença à faire coulisser sa main gauche gluante le long du mât, tandis que la droite continuer à jouer avec les couilles. Il ferma les yeux en se concentrant uniquement sur son gland et la façon d’obtenir le plus de plaisir possible. Les jets de lubrifiant s’affolèrent, à tel point que Maxime ôta sa bouche pour ne pas se noyer. Il continuait à visiter le gland et ses pourtours avec sa langue tandis que la main droite rejoint sa sœur sur le long manche pour accélérer la cadence. La délicieuse et enivrante couverture d’extase diffuse l’enveloppa bien chaudement. Il sentit la sève progresser de ses couilles vers la base du chibre.

 

Le feu d’artifice arrivait. Le muscle pubococcygien se contracta violemment pour envoyer le sperme dans la tour d’ivoire. Pour la première fois, Maxime ressentit l’orgasme avant que le sperme n’ait eu le temps de sortir de ce tuyau d’arrosage XXXXL. Une sensation inédite et follement excitante.

 

 Avant de sombrer pour plusieurs minutes dans un coma orgasmique, le jeune homme plaqua ses lèvres sur le gland et entreprit de boire tout ce qui en sortirait. Et Dieu sait que des quantités astronomiques de sperme furent éjectées cette fois-là. Heureusement que ses organes, dont l’estomac, avaient grandi avec tout le reste. Le flot était si rapide et fourni qu’il laissa s’en échapper une bonne partie. Tout le surplus dévala le long de ses proéminents pectoraux.

 

L’éjaculation à proprement parler dura 4 minutes et 45 secondes, avec des interruptions de quelques instants entre deux giclées, sur la fin. Plusieurs minutes après, du sperme stagnant dans le phallus s’écoulait encore du gland, tel un volcan effusif, poussé par le liquide séminal qui allait reprendre ses droits. Les fesses en acier du monstrueux étalon reposaient dans une belle flaque blanchâtre et crémeuse. Des gouttes finissaient de couler de son immense torse, révélant au passage un duvet naissant au centre des pectoraux.

 

Maxime reprit peu à peu ses esprits après une vingtaine de minutes. Chaque orgasme était plus puissant et même dévastateur que le précédent. Tant mieux. Il ne demandait que ça. Son visage était éclaboussé et gluant. Il essuya ce qu’il put avec les mains et se lécha les doigts.

 

 Il s’allongea sur le sol de la kitchennette en attendant que la prochaine phase s’opère, en baignant dans son sperme et dans un sentiment d’excitation teintée de fébrilité. Il repensa à sa nouvelle taille de 2m23 ainsi qu’à son corps de surhomme avec lequel il n’avait pas encore testé toutes les capacités. Peu importe, ce corps serait de l’histoire ancienne dans les toutes prochaines minutes. Il sourit en imaginant le monstre encore plus monstrueux qu’il allait devenir, surtout avec la quantité homérique de sperme qu’il venait d’ingurgiter. Les transformations semblaient d’ailleurs plus longues à arriver. Pas de problème, du moment qu’elles se produisent. Il repensa à l’inconfort de devoir incliner la tête en étant debout, alors qu’est-ce que ce serait si… Déclic.

 

 Il n’était peut-être pas judicieux de rester dans cet apart étudiant exigu. Une sensation de chaleur dans le torse. Ça allait commencer. Maxime se releva pour se diriger vers la porte d’entrée. Il eut le souffle coupé et s’arrêta net. Sa cage thoracique prenait du volume. Ses poumons se remplirent d’air sans discontinuer, faisait atteindre le coffre dans des proportions difficilement concevables. Il pouvait désormais poser un annuaire à plat sur ses pectoraux en étant debout. Les muscles latéraux prirent le relais et accentuèrent la silhouette en T, qui était pourtant déjà très marquée.

 

Les muscles du dos entrèrent encore un peu plus dans la légende en devenant un véritable labyrinthe assez profond pour y perdre une souris. Les abdominaux grossirent vers l’avant tandis que les sillons se creusèrent davantage. Le taux de masse graisseuse devait être autour de 2% maintenant, un adjectif impossible à atteindre pour le commun des mortels. Un sentier de poil noir apparût du pubis jusqu’au nombril.

 

Les muscles du cou et des épaules s’épaissirent davantage, renforçant le côté menaçant malgré une tête d’adolescent restée inchangée depuis le début. Biceps et triceps virent leurs veines gagner en épaisseur avant de gonfler à leur tour. Ils devinrent si gigantesques qu’ils pouvaient dissimuler non plus un ballon de foot, mais un ballon de basket. Maxime sentait toute la puissance dans ses bras et rongeait son frein pour ne pas les voir en action sur les murs et le mobilier. Les avant-bras gonflèrent à leur tour, striés de veine.

 

 La sensation se propagea en dernier dans les membres inférieurs. Ses cuisses enflèrent tellement qu’il devait dorénavant garder ses jambes arcboutées. Et tandis que les mollets achevèrent de se transformer en forgeant cette forme de diamant caractéristique, la sensation de chaleur se mût en autre chose, également familière.

 

 CRAC ! Un premier craquement, suivi d’un autre, et d’un autre… Le squelette commençait déjà à s’étirer. Et Maxime qui s‘était arrêté devant la porte pour admirer les changements musculaires fût pris de court. Il ne put rester debout plus longtemps et tomba contre la porte. Tibias puis fémurs avaient commencés à s’allonger, et les muscles des jambes à grossir de nouveau pour s’aligner avec le nouveau squelette. Sans regarder ce qui se passait, Maxime sentit ses pieds reculer sur le sol, repoussés par des jambes toujours plus longues. Ca durait plusieurs dizaines de secondes et ça n’avait pas l’air de s’arrêter.

 

Il devait sortir de là avant que ça n’atteigne l’échine. Il posa sa main sur le verrou, le tourna, et au moment d’ouvrir la porte, les vertèbres se mirent à s’écarter. Il eût juste le temps de passer la tête dans l’embrasure de la porte avant de faire le dos rond à quatre pattes. C’est une cacophonie de bruits d’os et d’organes qui s’ensuivit. Maxime sentait tout son corps bouillant d’énergie gagner en poids et taille de tous les côtés, et cette idée de devenir un titan le fit bander comme un taureau. Tête baissée, il vit le sol défiler sous ses yeux. Le seuil de sa porte, puis le carrelage froid et sale du hall du 10e étage, alors que ses pieds étaient immobiles chez lui. Ses épaules hyper larges se retrouvèrent bloquées par le chambranle de la porte, alors que sa moelle épinière poursuivait sa croissance. Maxime dût se coucher latéralement pour faire passer sa silhouette en T par la porte. Il se remit rapidement à quatre pattes et attendit.

 

 La cage thoracique reprit sa folle expansion. Les cotes se soulevèrent et s’écartèrent les unes des autres, conférant au torse un volume gargantuesque, capable de contenir un enfant recroquevillé. Les pectoraux striés de grosses veines gonflèrent à n’en plus finir. On y aurait pu y enfouir une tête entière pour peu qu’on arrive à les écarter. Le duvet devint plus dense et épais, rejoignant celui des abdominaux, lesquels au passage avaient grossi au point de pouvoir cacher une main entre. Le cou qui s’était allongé reprit sa largeur initiale, bien supérieure à celle de la tête. Les épaules s’éloignèrent un peu plus du cou, rejetant les énormes bras bien plus loin encore sur les côtés.

 

Les bras, justement, commencèrent à s’allonger, de concert avec les avant-bras et les doigts. Ils partirent à hauteur d’abdomen pour atteindre le haut des monumentales cuisses. Les poings avaient maintenant la taille d’une boule de bowling. Et les muscles s’harmonisèrent avec les os. Le couple biceps/triceps, saturé en sang et hormone, connut une prodigieuse croissance qui le fit presque doubler en taille. Ses bras étaient maintenant plus large que son torse d’avant la première transformation. D’authentiques armes de destruction massive, comme son pénis.

 

Le pénis d’ailleurs, Maxime fût assez surpris de le voir si loin de son visage alors qu’il avait langoureusement sucé il y a trente minutes. Il se remit sur le dos et constata que la bête dépassait à peine la sangle abdominale. Ça n’allait pas durer. Les corps spongieux commencèrent leur manège habituel en se gorgeant violemment de sang et en distendant le chibre. Le gland, qui expulsait toutes les deux secondes une giclée de lubrifiant, se mit à se rapprocher, dépassant sternum et bas des pectoraux. Il s’arrêta finalement à mi-pec.

 

Il n’existait pas de mot pour décrire le caractère inhumain d’un aussi éléphantesque phallus. Sa taille était de 81 cm. Et les couilles pleines de foutre venaient d’atteindre sans difficulté la taille de deux ballons de handball grand format. L’épaisseur de 12,5 cm commençait à dépareiller avec la longueur, donnant une impression de finesse. Le titanesque étalon se retint d’en augmenter le volume, une idée ayant germé dans son esprit.

 

Alors qu’il s’apprêtait à passer en revue son nouveau corps, Maxime ne put plus bouger la tête. Il écarquilla les yeux en sentant un mal de crâne aussi soudain que violent le frapper. Les muscles de son visage étaient comme tétanisés. Et avant de comprendre ce qu’il lui arrivait, sa tête commença à enfler. Sa mâchoire s’élargit pour devenir bien carrée. Ses quelques boutons disparurent. Ses yeux grossirent en même temps que leurs orbites et sa bouche se fendit d’une ouverture plus large. Une barbe noire fournie de deux semaines émergea sur le menton et les joues, exacerbant la virilité du jeune surhomme.

 

 Jusqu’à présent, sa tête avait été préservée de tout changement, mais elle s’était décidée à rattraper son retard. Et de quelle façon ! Elle venait de presque doubler de volume pour mieux équilibrer ce corps de titan. Il était devenu méconnaissable, de par la barbe totalement inédite ainsi que par les traits profondément modifiés. Un membre de sa famille ne reconnaitrait pas ce visage adulte de mâle dominant au regard sombre.

 

Maxime passa sa main dans sa barbe, une sensation totalement inédite, une de plus. Puis il s’en désintéressa pour se concentrer sur son nouveau corps. Le spectacle qu’il vit lui donna une violente envie de baiser. Il se serait baisé lui-même s’il l’avait pu. Ses pieds étaient dans la kitchenette, à 1m50 de la porte d’entrée, et sa tête elle-même ne devait pas être bien loin d’ 1m50 du seuil, côté hall. La vision de ce corps surgonflé d’immense muscles secs et veineux et cette queue titanesque suintante de lubrifiant acheva de le faire basculer du côté obscur, là où aucune limite et interdits n’existent. Il n’eût plus qu’une idée en tête : rendre une petite visite à un des dealers qui le martyrisaient, et dont l’apart se situait quelques étages en-dessous. 

 

 

 

 

Chapitre 7

Maxime : 2m97 – 308 kg

Pénis (longueur/largeur) : 81 cm/12,5 cm

 

ATTENTION ! CE CHAPITRE CONTIENT DES SCENES GORES D’EXTRÊME VIOLENCE.

 

                Une fois, Maxime eût le malheur de prendre l’ascenseur en même temps qu’Abdel, un de ses bourreaux. Celui-là même qui lui avait « confisqué » son téléphone portable la veille. Alors qu’il venait d’embarquer au 10e étage pour descendre au rez-de-chaussée, la cabine s’était arrêtée au 7e et les portes s’ouvrirent sur Abdel qui finissait de verrouiller son appartement. Le cœur de la jeune victime s’était arrêté de battre. Abdel, après l’avoir reconnu, fondit sur lui comme un prédateur sur sa proie. S’en suivit un festival d’insultes et de petites claques. Le dealer poussa le vice jusqu’à appuyer sur les boutons des étages inférieurs pour ralentir l’arrivée au rez-de-chaussée et faire durer le plaisir.

 

                Ce traumatisme servait à deux choses : alimenter la colère du titan et lui indiquer où habitait sa future victime. Les rôles étaient désormais inversés et Maxime, ou en tout cas ce qu’il en restait dans cette carapace de muscles, s’ingéniait à imaginer des choses toutes plus violentes et perverses les unes que les autres à son encontre.

 

                Mais pour cela fallait-il encore arriver audit appartement. Le colossal monstre se trouvait encore dans le hall du 10e étage. Il était condamné à marcher à quatre pattes et à renoncer à utiliser l’ascenseur, tant il était grand. Il s’engagea par la porte de la cage d’escalier mais ce fût moins facile que prévu, tant son gabarit était devenu large dans tous les sens. Il dut rapidement apprendre à se déplacer en étant couché latéralement, de par ses épaules disproportionnées qui l’empêchaient de marche de face dans les escaliers. Il se promit de ne plus boire de sperme dans l’immeuble, sous peine de se retrouver piégé comme un rat. De bruits lourds inhabituels accompagnaient sa descente et résonnaient dans toute la cage d’escalier, comme un sombre présage pour ceux qui savent les lire.

 

                Il entra avec encombre dans le hall du 7e étage et se retrouva face à la porte de son ennemi. Il prit quelques secondes pour réfléchir au meilleur moyen de défoncer cette plaque de bois, et décida d’y aller avec ses jambes qui sont naturellement les muscles les plus forts du corps. Il centra son pied nu sur la porte, recula la jambe, puis la propulsa en avant en y mettant toute sa hargne. La porte ne fit pas le poids face à ce véritable bélier et céda instantanément en étant propulsée dans la kitchenette. Les gonds arrachèrent un pan de mur dans leur chute. Le vacarme engendré devait avoir réveillé tout l’immeuble, et combien de temps avant d’être éventuellement dérangé par la police ? Le titan s’en foutait. Il savait que son affaire se réglerait rapidement. Il se remit en marche en pénétrant tant bien que mal dans l’appartement. Il ressentit au passage une vague douleur dans le pied-bélier qui ne s’en était pas sorti indemne. Peu importe, ce n’est pas le pied dont il allait se servir le plus dans l’immédiat.

 

                La porte de la chambre ne fit pas obstacle longtemps. Connaissant sa relative fragilité comparée à la porte d’entrée, le monstrueux surhomme s’en débarrassa avec ses poings, tels deux boules de démolition. Elle s’ouvrit, fracassée, sur un Abdel médusé. Il se tenait debout au fond de la pièce, contre la fenêtre aux volets roulants fermés, et portait un t-shirt gris et un caleçon bleu marine. Ses yeux s’arrêtèrent sur le monstrueux chibre qui s’agitait d‘impatience.

 

                Maxime se délecta quelques instants de l’air ahuri de sa proie, puis s’avança vers lui pour le saisir. Il remplissait pour ainsi dire la moitié de la pièce, n’offrant aucune chance de fuite au dealer apeuré. Il suffisait au titan vengeur de tendre ses longs bras pour balayer la pièce. Abdel réagit en se calant dans un coin et en interrogeant, la voix tremblante :

 

« V… Vous êtes qui ? Vous voulez quoi ? »

 

                L’ancien jeune homme ne prit pas la peine de répondre. Tout ce qui lui importait était d’enfiler son immense sexe dans ce corps. Il s’avança un peu plus à quatre pattes pour pouvoir attraper sa proie par le cou, puis le souleva de terre, comme s’il ne pesait rien. Il lui arracha sans ménagement son caleçon, laissant apparaître un pénis d’une taille respectable, en tout cas sur l’échelle du commun des mortels. Peu importe, cet organe ne serait d’aucune utilité.

 

La victime se débattait et se mit à hurler à l’aide. Le monstre lui plaqua sa large main sur la bouche. Abdel essaya de mordre, mais la poigne devint plus forte, comme un avertissement. La pression était tellement phénoménale que sa mâchoire était sur le point de se briser. La victime se calma et se contenta de supplier du regard. Il ne reçut aucune réponse. Le colosse réfléchissait à la manière de procéder.

 

Il le tint par le bras droit, retira la main de sa bouche et le retourna contre le mur en le tenant de son autre main par l’épaule gauche. Il s’assit sur ses genoux mais devait toujours incliner la tête qui frottait contre le plafond. Il écarta les jambes pour faire de la place à son attirail, et approcha les fesses de sa proie de son énorme gland suintant. Plusieurs grosses giclées de lubrifiant couvrir entièrement le dos du t-shirt et les fesses poilues offertes en sacrifice en quelques secondes. Avec ses puissants bras, le titan appuya l’anus de sa proie sur le gland rougeoyant qui n’était pas loin de faire la moitié de la largeur du dos. Le combat allait être rude pour pouvoir entrer par une si petite ouverture. Le monstre insista, appuyant de plus en plus fort de manière graduelle. Abdel recommença à hurler et implorer. Sans ménagement, le colosse lui frappa la tête contre le mur de façon mesurée pour l’assommer, au mieux le calmer. Il obtint l’effet escompté.

 

 Il se concentra à nouveau sur cette périlleuse sodomie. Il frotta l’anus autour du gland dans un mouvement rotatif, cherchant un angle de pénétration approprié. Il continua d’appuyer de plus en plus fort. Son chibre palpitait d’excitation face à ce plat servi et l’arrosa copieusement. Mais cet apport de liquide séminal ne changerait pas grand-chose à la donne. L’anus était trop serré et le gland trop imposant.

 

Le titan, loin de renoncer, coucha sa proie sur le ventre, dans le lit, lui écarta bien les jambes et enfonça trois doigts dans son rectum pour le détendre. Abdel émit un faible gémissement et tenta de remuer. Le monstre ajouta un quatrième doigt, ce qui représentait l’équivalent de huit doigts humains normaux, pour bien distendre l’orifice visé. Il ajouta à cela plusieurs jets de lubrifiant tout autour et à l’intérieur, puis tenta d’y faire entrer sa queue en retirant aussitôt ses doigts. Il sentit du progrès. Le gland était à moitié enfilé, mais la partir la plus épaisse restait à l’extérieur.

 

 Il appuya plus fort et tenant Abdel par les hanches. Il pouvait d’ailleurs presque encercler son abdomen avec ses deux immenses paluches. Le monstre commença à perdre patience et appuya encore plus franchement. La victime, semi-consciente et avec une belle bosse sur la tête, gémit un peu plus audiblement. Les deux pinces hydrauliques qui servaient de mains serrèrent tellement l’abdomen qu’elles pouvaient maintenant se rejoindre, mais causant probablement des dégâts sur les viscères.

 

La victoire était à portée. Le monstre sentit son gland s’enfoncer un peu plus chaque seconde. Il maintint une pression démentielle de l’anus sur sa queue, si bien que cette dernière finit par y rentrer avec fracas. La pression de cet orifice distendu à l’extrême n’était pas très bien vécu par le pénis, qui allait bientôt déclencher une phase d’épaississement qui s’annonçait catastrophique.

 

En attendant, le titan enfila sa bite d’éléphant le plus loin possible, tassant au fond de l’intestin les flots de liquide présiminal qui avait commencé à s’y accumuler. Il put y enfourner en tout et pour tout 26 cm de viande veineuse, en appuyant comme un fou. Il restait donc 55cm à l’air libre. La montagne de muscle admira son œuvre. Il avait enculé cette racaille et se préparait à lui détruire l’anus. Cette sensation inédite de pénétration, bien différente de ce qu’il avait connu avec son matelas, décupla la puissance de ses pulsions sexuelles.

 

 Il initia un mouvement de va et vient, d’abord lent, puis s’accélérant de plus en plus. Des traces de sang et des excréments apparurent sur la partie coulissante du chibre. Répugnant mais inévitable. Le rythme devint très vite frénétique. Voir son bourreau être secoué comme une marionnette désarticulée provoqua un intense plaisir au sodomite. Plaisir qui lui laissa échapper quelques râles d’une voix extraordinairement grave, à peine humaine. Ce signe de virilité l’excita encore plus. Toujours à genoux, il souleva le corps inanimé d’Abdel empalé sur sa queue qui se retrouva à la verticale. Le monstre s’allongea autant que possible sur le dos et continua d’enculer violemment son ennemi en le maintenant avec les deux mains sur les hanches.

 

La pression monta. L’éjaculation était proche. Elle s’annonçait exceptionnelle. Ses énormes couilles avaient travaillé sans relâche pour ce moment. La couverture d’extase orgasmique enveloppa le titan qui lâcha les vannes sans retenue dans le cul de sa proie. Plusieurs minutes durant. Du sperme souillé de sang et de matière fécale arrivait à suinter de l’orifice distendu à l’extrême. Mais la quasi-totalité restait dans les boyaux du jeune malheureux. La quantité devint telle que son abdomen sur lequel figurait une timide plaquette de chocolat gonfla sous la pression en lui donnant des airs de gros ventre à bière.

 

L’extase était inimaginable, indescriptible pour le titan. Mais elle fût de plus courte durée que d’habitude car le pénis commençait à réagir à la féroce pression de l’anus, provoquant une sensation incompatible avec le plaisir pur. Il semblerait que la réaction d’épaississement ne se produise que lorsque la pression à lieu à un même endroit du mât. Lors de la sodomie, les va et vient annulait l’effet. Mais la redoutable bite était immobile depuis plusieurs minutes et était bien décidée à se libérer de cette emprise.

 

Les veines qui la parcouraient, déjà incroyablement épaisses, grossirent davantage au fur et à mesure que des litres entiers de sang affluaient dans les corps caverneux. L’élargissement avait commencé et était bien visible sur le deux premiers tiers de l’anaconda. Le titan se redressa, déposa le corps inerte d’Abdel sur le lit, le tint fermement par les hanches et s’empressa d’enfoncer le plus possible sa titanesque bite dans ce cul.

 

La transformation poursuivrait son cours tant que de la pression serait détectée. L’anus tint bon, malgré les 14 centimètres d’épaisseur provisoire au compteur. Plus elle grossissait, plus la pression augmentait, entrainant une sorte d’emballement. Les veines continuaient de pomper du sang comme des folles. Tel un ballon gonflable, le chibre augmentait toujours plus en volume. Un craquement mou provenant du corps d’Abdel. Pas d’effet sur l’anus. On passa à 15 centimètres. La sensation était à la fois gênante et terriblement excitante. Le titan ferma les yeux et se concentra sur les sensations. Le sang qui afflue… la pression anale qui augmente… la jouissance de posséder totalement le corps de la petite frappe… Un bref bruit mou retentit. L’anus venait de se déchirer. Il aura fallu 15,5 cm d’épaisseur pour en venir à bout. Du sang mêlé de sperme légèrement marron coula copieusement le long du membre et par terre. Un instant impressionné, le titan assimila cette vision à un plaisir obscène et macabre.

 

Bien que libérée de toute pression, la monstrueuse bite mit du temps à interrompre le processus d’épaississement, si bien qu’entretemps, la pression redevint forte au niveau de la déchirure. Cela n’était pour déplaire au cruel titan qui tint bon sa proie en attendant la nouvelle phase. Les veines recommencèrent leur routine et l’immense tronc d’arbre regagna en épaisseur. La pression devint encore plus forte et emballa la transformation. Cela ravit le monstrueux surhomme qui sentait également son gland gagner en volume et se sentir à l’étroit là-dedans. Ce dernier recommençait d’ailleurs à injecter des quantités folles de lubrifiant dans les entrailles. Sa queue était maintenant plus large que ses poignets, et bientôt plus que ses paumes pourtant immenses. Cette fois ce serait compliqué, car un obstacle de taille se dressait sur la route : les os du bassin. Ils offraient une résistance accrue au reste d’anus.

 

Aucune limite. Le titan s’était lancé un défi et il comptait bien le réussir. Toujours en serrant fermement le corps inerte contre sa bite, il sentit cette dernière continuer d’enfler dans des proportions astronomiques. S’il y a encore peu elle pouvait paraitre relativement fine du haut de ses 81 cm, ce n’est plus qu’un lointain souvenir. Elle frôlait dorénavant les 20 centimètres d’épaisseur. Et cet anus infernal qui ne s’élargissait pas assez rapidement.

Perdant patience, le titan succomba à une pulsion soudaine et brutale et écarta violemment les jambes de son pantin, les disloquant et cassant en partie le bassin, ce qui libéra la tension anale. La bête respira enfin et cessa sa croissance pour afficher un effroyable 20,6 cm de largeur.

 

Mais ce n’était pas encore fini. Comme il avait précédemment éjaculé, le terrifiant titan sentit que la transformation en longueur allait s’opérer. Il avait également un plan pour ça. Finit de faire dans la dentelle, il allait utiliser la manière forte. Très forte. Il laissa d’abord son chibre commencer la phase d’allongement. Il se mit sur le dos et observa le corps empalé s’élever lentement, au fur et à mesure que des centimètres s’ajoutaient. Ce spectacle d’un corps totalement soumis, dominé par sa monstrueuse queue fit exploser son appétit sexuel.

 

Il se redressa, laissa la loque humaine retomber sur le lit, la saisie par les épaules en plaquant les bras le long du corps et commença à comprimer sa queue qui continuait à grandir. Il sentait qu’il faisait chaud à l’intérieur et avait l’impression que son gland baignant dans du liquide ; sperme ou sang, ou les deux, il ne saurait dire. Il continua à comprimer de plus en plus le petit corps de telle sorte que son gland sembla avoir percé quelque chose. Une voie était ouverte et le titan put enfiler une dizaine de centimètres supplémentaires. Il sentait que l’allongement était terminé, et il restait au bas mot une bonne soixantaine de centimètres à enfiler dans cette carcasse.

 

 Il reprit le processus de compression qui ne laissait aucune chance au corps d’Abdel. Les bras hypertrophiés et la bite dure comme de la pierre étaient insurmontables. Ca résistait malgré tout beaucoup. Qu’à cela ne tienne, le titan appuya bien plus fort, tout en étant encore très loin de l’effort maximal. L’épaule gauche d’Abdel se démit sous la poigne d’acier du monstre. Juste un détail. Après quelques craquements et autres bruits organiques, le gland trouva à nouveau un chemin dans cet environnement mou. Et c’est maintenant une bonne trentaine de centimètres supplémentaires que le titan sodomite parvint à enfiler.

 

La conséquence immédiate fût du sang s’écoulant en quantité par la bouche d’Abdel. Il venait de rendre l’âme après une hémorragie interne aux causes évidentes. Mais le cruel colosse continuerait coute que coute son macabre dessein. Baigner dans des entrailles chaudes et profaner ce sac de viande activa une virulente pulsion sexuelle qui le poussa à initier des mouvements de va et vient.

 

 Il pouvait désormais enfiler les deux tiers de sa queue et ne se priva pas de ce plaisir. La sensation était différente de la première sodomie, mais tout aussi orgasmique. A chaque coulissage de son impitoyable queue il sentait les entrailles de sa proie être broyées et liquéfiées. Cette image décupla encore plus sa frénésie libidineuse. Les notions de bien et mal étaient en passe d’être totalement annihilées par les hormones bouillant dans tout son corps. Seule la baise comptait. Pulvériser des chattes, des culs et des bouches. Littéralement.

 

 L’extase ne se fit pas attendre. L’orgasme en lui-même dura quatre minutes. Du sperme arrivait même à ressortir par la bouche. Mais la frénésie sexuelle était tellement puissante qu’elle ne permettait pas la torpeur de l’extase. A peine les dernières gouttes expulsées que le violent titan recommença à compresser le cadavre pour y insérer toute sa queue. Et il était en passe de réussir. Ne mesurant plus sa force, il comprima la cage thoracique qui craqua et brisa la moelle épinière en plusieurs endroits. Le spectacle aurait été terrifiant pour le commun des mortels. Le titan, lui, jubilait. Il avait pour ainsi dire pénétrer intégralement Abdel de tout son long.

 

Le gland de la taille d’un gros pamplemousse était remonté jusqu’à la gorge totalement déformée. Sang, sperme et liquide séminal coulait sans interruption par la bouche. Le titan enleva ses mains du corps et le souleva du lit par l’unique force de sa bite. Il s’allongea et contempla son œuvre. Abdel se tenait assis, bien droit sur cette bite. Le monstre arriva même à le faire basculer en avant et en arrière en contractant son muscle pubo-coccygien. Mais il n’en avait pas encore finit avec la malheureuse dépouille. Il lui fallait la cerise sur le gâteau. Il se redressa, fit pivoter le corps comme un porc embroché pour le voir de face, lui arracha le T-shirt trempé d’un mélange de fluides, le maintint fermement aux épaules démises et attendit la phase d’allongement qui se préparait. Le gland dans la gorge commença à remonter vers la bouche, d’où s’échappa un puissant jet de lubrifiant. Mais cette issue trop étroite ne permit pas le gland d’en sortir. Alors que la croissance s’opérait toujours, le titan arracha d’une main la mâchoire inférieure qu’il fit voler dans un coin. Le gland put alors se frayer un chemin sans trop d’encombre hors de ce sanglant paquet tandis que la métamorphose s’acheva dans les couilles, devenues presque aussi grosses que deux ballons de football.

 

Le titan enfila bien à fond sa queue dans la carcasse mutilée et contempla son œuvre ultime. Un dealer empalé de part et d’autre par un pénis d’1m12. Maxime comprit que chaque partie de son corps étaient devenues des armes mortelles, dont il comptait se servir sans retenue. Tandis qu’il se laissa aller à des pensées obscènes, un imprévu se produisit. La pression au niveau de la gorge d’Abdel était trop importante pour ne pas provoque de réaction. Il s’en aperçut et laissa faire.

 

Les veines du phallus devinrent si épaisses et proéminentes qu’on les voyait se dessiner à travers la peau de la gorge, laquelle se distendait de plus en plus. La colonne vertébrale se disloqua dans sa partie supérieure. Divers fluides se mirent à couler par tous les orifices. Et la gorge finit par rompre sous la pression irrésistible, éclaboussant de sang et de sperme les alentours. La tête pendit dangereusement en arrière et ne tenait à plus grand-chose.

 

Bien que libérée de la gorge, la queue était maintenant mécontente de l’anus redevenu trop étroit. L’élargissement se poursuivit donc. Le monstrueux phallus faisait plus de la moitié de la largeur du torse, et continuait à grossir. La sensation de pression devint telle que le titan se mit à émettre des râles. Les os du bassin mettraient manifestement longtemps avant de céder. Tant pis pour eux.

 

 Le corps sans vie commença à se déformer de toute part, les organes non broyés étant repoussés sur les côtés par l’animal gonflable. La cage thoracique même commença à se soulever, comme si le malheureux opérait à son tour une transformation lui faisant gagner en volume. Les râles du titan devinrent plus bruyants. S’il s’était retenu jusque là du côté de la voix pour ne pas attirer davantage l’attention, il lâcha prise et se laissa aller, son affaire étant quasiment réglée.

 

Des craquements sinistres et autres bruits organiques se manifestèrent un peu partout. Le chibre atteignait désormais un pachydermique 30 cm de largeur et on en devinait distinctement les contours dans le corps pénétré. Les immenses veines grosses comme trois doigts normaux ressortaient même à travers la peau du ventre. Le bassin ne résista plus et le rectum explosa littéralement, déversant des litres de foutre et de sang sur le sol. Ce fût la délivrance pour le titan qui laissa échapper sa rage à plein poumon. Les murs en vibrèrent.

 

Il prit quelques secondes pour se remettre de ses émotions et balaya la pièce du regard. La plupart des surfaces exposées était constellés de sperme et de sang. Lui-même était copieusement souillé. Et il vit son téléphone portable volé, posé sur une table et moucheté de fluide. Il n’en avait rien à foutre. Il prit le chemin de la sortie, gênée quelque peu par son pénis bien plus grand qu’à l’arrivée et dont le gland arrivait à hauteur du nez ! Il réglerait ce problème plus tard. Sa priorité était de sortir de l’immeuble pour fuir la scène de crime et boire tranquillement de nombreuses gorgées de sa semence.

 

Personne ne le vit sortir de l’immeuble en défonçant la porte d’entrée magnétique. Se trouver à l’extérieur était comme une délivrance. Il pouvait sans problèmes se redresser complètement et profiter de la vue du haut de ses 2m97. Voir ce paysage familier de plus haut lui donna l’impression d’être constamment monté sur une échelle. Il était 4 hures du matin et il faisait très frais. Maxime ne ressentit nullement le froid, son corps étant une véritable chaudière ambulante. Il s’éloigna par une rue non éclairée, accompagnée du bruit sourd de ses pas auquel il allait devoir d’habituer. L’heure était au repos, avant de frapper fort. Très fort.

 

 

 

NOTE DE L'AUTEUR : Il n'y aura a priori pas de suites aux aventures de Maxime, celui-ci ayant atteint une taille si monstrueuse que les scènes de sexe seraient remplacer par l'horreur la plus gore. Il continuerait à grandir encore et encore, détruisant tout sur son passage. Ce genre d'histoire a un public trop restreint.

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Bravo, super histoire. Et ça fait plaisir de voir une histoire en français bien développée.

Il y a un souci entretenu et constant, aussi bien dans le vocabulaire que dans la grammaire, qui certes fait honneur à notre langage, mais qui je l'avouerai peut par moments avoir sur ma personne un effet quasiment distrayant.

Cela souligne certes votre application et votre érudition, mais par malheur, porte en exergue les rares erreurs présentes dans le texte, dont je ne saurais pour autant vous tenir rigueur.

Merci pour ce bel ouvrage.

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  • 2 weeks later...

With full shout outs to Google Translate - The preface, and first two paragraphs:


Preface:

Hello French speaking friends. This is my first story, and it will probably be the only one as I describe my ultimate fantasy: a skinny young man turning into a mountain of muscle, the pinnacle of virility as defined by our Western standards. I do not spill over in background or frills: what stimulates me is the detailed description of each phase of transformation, both physical and mental. Here, I wish you good reading, even more!

 

Hymn to virility

 

     Maxime had just celebrated his 18th birthday a week ago. He was a rather frail young man of six feet tall, dark brown, brown eyes, a hairless body, except for a small pubic bush. He went completely unnoticed in the mass of other teenagers. This, together with the fact that he was the only child brooded by his parents, fueled his great shyness, which proved to be an insurmountable barrier with girls. Her sex life had so far boiled down to two handjobs a week since she was 15. To make matters worse, his modest 12 cm erect penis complexed him. How do you satisfy a girl with so little? All the porn videos seen on the net featured competitive cocks. At least that was needed to make a girl come, he was sure.

 

     He had just moved to an HLM housing estate on the outskirts of a big city to study at university. He valued his independence, knowing that it could help him develop his personality. This project was unfortunately undermined by a gang of drug dealers, barely older than him, regularly squatting the hall of the building. Insults, bullying, and since the day before yesterday, racketeering. He was helpless prey. Getting in the elevator as quickly as possible was his only salvation

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1 hour ago, Mdlftr said:

With full shout outs to Google Translate - The preface, and first two paragraphs:

 

Actually, I've talked about that with the author and I started translating the story to English. Hopefully, it'll be good enough to have it posted soon!

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On 10/22/2020 at 12:48 PM, Bigger said:

Actually, I've talked about that with the author and I started translating the story to English. Hopefully, it'll be good enough to have it posted soon!

One, thank you! I am certainly looking forward to reading this. Two, a question. Will you also be converting the measurements to feet and inches for height and measurements of muscle size and pounds for weight? I know not all English speaking countries use these, but most of us in the States have very little conception of the metric system. No criticism is meant if you don't. Just curious. Thanks again for translating the story!

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  • 1 month later...
  • 4 weeks later...

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